Total Pageviews

Sunday, December 28, 2014

Haut Pays. Chapitre V. Les prédilections sexuelles.

       Dans les chapitres précédents j'ai expliqué les choses très simples et accessibles à comprendre, néanmoins il y a peu de ceux qui sont capables de les comprendre. Il s'agit de ceux qui ont peur de monter au-dessus de leur entourage et de faire les premiers pas au Haut Pays. Néanmoins je vois encore beaucoup de ceux qui sont doutant et vibrant, vivant avec beaucoup de questions dans la profondeur de leur conscience, et ces questions troublent leur paix, et il ne veut personne à répondre les questions à eux. Vainement tentent-ils d'apprendre la vérité, car les contradictions évidentes en ce à quoi ils étaient instruits, ne sont pas cachés de leur regard.
        Il est probable, qu'il n'y ait plus un seul phénomène qui serait porté aux nues et renversé aux plus profondes couches de la géhenne à la fois. C'est peu probable que tu entendes davantage des contradictions et réticences autour une autre objet. Parfois la même personne tantôt avec le mépris nomme-t-il cet objet le plaisir charnel ou même le dévergondage, tantôt en faisant semblant des suffrages nomme-t-il l'amour, de manière sublime, ainsi s'en contredisant à soi-même. Et son astuce est évidente, parce que s'il sait et dit la vérité, il ne se contredirait pas.
        Mais tu, la main sur la conscience, collecte toute la connaissance sur ce phénomène, que les hypocrites appellent, en désapprouvant, un plaisir charnel, et les "avocats", la majorité duquel sont hypocrites aussi, ils l'appellent amour. Et les derniers sont hypocrites aussi, parce qu'ils tentent d'émettre ses jugements sur un objet, duquel ils mêmes n'ont réussi rien à apprendre, et tous leurs mots ne sont qu'une répétition de tout ça qu'ils oyaient en foule. Et il arrive qu'il soit profitablement pour cet homme dans certaines places de louanger quelqu'un, et il parle: "ils s'aiment", dans une autre place il a besoin de vilipender quelqu'un, et alors il parle sur ses voisins: "ils sont des débauchés!" La plupart du temps il est comme un écho: d'abord il répète ce qu'il entend çà, puis ce qu'il entend là, et maintenant il est facile à comprendre la cause des contradictions.
        Et sais que tu as de la très bonne chance si tu trouves une personne qui ne mentira pas, ne fera pas l'hypocrite, n'évitera pas de répondre questions sur ce sujet et s'il se sera trouvé qu'il bien sait le sujet dont tu demandes, alors deviens son disciple sans douter.
        Néanmoins, essaye de trouver la vérité indépendamment. Quand tu recueilles ensemble toutes les énonciations sur ce sujet que tu as entendu pendant toute la vie, tu verras qu'il y a quelque chose plus grand qu'un plaisir charnel. Il y a quelque chose plus grand et plus sublime, mais cette sublime partie ne peut pas être ouverte pour ceux qui la jugent et jettent le blâme.
        Et même si tu entends que quelqu'un a l'intention de tuer quelqu'un d'autre à cause de la jalousie ou il veut se tuer à cause de l'amour non partagé, puis dans ce cas le motif n'est pas l'amour, mais l'orgueil, c'est-à-dire, la crainte pour son ego. Un jaloux ne défend pas l'amour, mais l'orgueil. Il venge à un homme qui selon l'opinion de la foule, a fait l'un malchanceux. Il est sourd et aveugle et a oublié que même il y avait des rois qui étaient trompés.
        Un autre se considère comme un malchanceux de l'amour non partagé et il va se suicider ou simplement séjourne en tristesse. Il est sourd et aveugle aussi, parce qu'il n'a pas réfléchi et ne sait pas qu'il aime une personne qui n'est pas capable d'aimer. C'est comme s'il estime un cadavre soit vivant, commence à parler avec il, mais le mort ne répond pas à lui, et il se tourmente à cause de ça: "on ne veut pas à parler avec moi, donc je ne suis pas respecté, c'est pourquoi je suis misérable".
        Il ou elle qui se languit de l'amour non partagé, s'ils sauraient que le partenaire, comme si soit capable d'aimer, il est inventé par eux. Et même s'il ou si elle accède à leurs désirs, ils recevraient le bonheur pas plus que d'un plaisir charnel ordinaire, non plus que de la masturbation. Un plaisir charnel ordinaire peut-on acheter pour l'argent relativement pas grand. Quant à la masturbation, on ne doit pas du tout à payer. Et il n'y a pas aucun problème, mais il est inventé.
        Si tu es un de peu de gens qui sont capables d'aimer et qui savent qu'est-ce que c'est l'amour, donc l'amour est un flambeau inextinguible de ton âme qui te fait heureux déjà seulement lui-même, et si tu as eu pleine conscience de ça, tu est déjà heureux (ou heureuse), et ne laisse pas que cette flamme s'éteigne, car seulement elle te donne à regarder complètement d'une autre manière à l'univers et à tout qui se trouvent au-dessus de lui. Et l'extinction de cette flamme équivaudrait au renversement à l'enfer.
        Si tu portes délibérément la torche de ton âme, puis tu peux déjà être heureux, toi-même, sans quelqu'un et sans quelque chose. Mais tu te trouves dans l'enfance spirituelle pour le moment et il n'y a que cette raison que tu as besoin de ce jeu infantile, c'est-à-dire, le sex. Ta vision spirituelle n'est pas devenu encore plus fort, c'est pourquoi tu as besoin d'un (ou une) partenaire pour qu'à l'aide d'eux sentir la beauté de l'univers et la gloire du Créateur. Tu n'es pas monté encore en Haut Pays jusqu'au niveau où peut-on immédiatement éprouver la beauté de l'Univers et tu as besoin d'un médiateur, comme ceux-là qui apprennent à marcher, ils ont besoin d'un appui supplémentaire. Tu ne peux pas encore ressentir la plénitude du bonheur, en s'isolant et en regardant aux étoiles la nuit sans nuages ou en inhalant le brouillard matinal au-dessus d'une rivière et en écoutant le chant des oiseaux en surimpression de la chanson fluviale. Pour que le bonheur soit complet, tu as besoin d'un médium auquel aurais-tu la possibilité d'épancher cet amour qui est et était toujours dans toi. Mais sais: quand tu te lèves assez haut, ces jeux infantiles cesseront de t'intéresser. Quelqu'un d'adulte et mûr, peut-il s'intéresser au jeu aux échecs, mais on ne peut pas l'intéresser au jeu à Tic-tac-toe, et un bébé n'est pas crû encore jusqu'à jouer aux échecs. C' est pourquoi un jeu plus intéressant paraît lui incompréhensible et ennuyeux. Voilà pourquoi l'apôtre Paul a préféré le célibat. Il avait crû déjà spirituellement au-dessus des jeux infantiles qui avaient cessé de l'intéresser, mais il léguait à ses enfants spirituels à se marier, en disant que sinon: "mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner".
        Et ne sois pas confus, si la nature personnelle pousse toi aux jeux inhabituels que la société nomme les perversions, certainement, si ces jeux n'apportent pas mauvais fruits. Car si tu écoutes ce que les gens parlent, tu ne bougeras pas en développement et tu ne feras pas même un pas au Haut Pays. Ce n'est pas Dieu, mais la société qui est un ennemi de Dieu et qui juge tout ça. Mais Seigneur Jésus enseignait à apprendre l'arbre selon ses fruits. C'est pourquoi je ne te demande pas, à quels jeux joues-tu, mais je demande: quels sont les fruits de ces jeux? Et si tes jeux ne détruisent pas la vie et santé de quelqu'un, puis tu es parfait (ou parfaite) en étant tel que tu es, mais il serait un péché en fait de tenter d'être, "comme tout le monde", parce que le Seigneur ne clonait pas les gens et ne créait pas eux identiques, mais chacun et chacune d'eux sont uniques et incomparables, et la trahison de l'essence de soi-même, elle n'entraîne rien que le mensonge, le désenchantement, la perte du but en vie, car le but en vie est l'amour.
        Certains de vous diront qu'intrinsèquement ils sont portés à jouer aux jeux agressifs et demanderont, pourrait-on jouer à eux? Et je les demanderai plus encore: "quelles sont les conséquences de ces jeux? Est-ce que vous êtes stupides à tel point que ne pouvez pas distinguer les égratignures et les bleus inoffensives des blessures mortelles et estropiant? Néanmoins, il y a ceux qui vont trop loin et les limites de ce qu'est admissible, ont l'air diffuses, indéterminés, et ils exigent la réponse, comment déterminer précisément cette borne, au-delà de laquelle il est inadmissible d'aller? Et je vais répondre à eux: "si vous ne pouvez pas déterminer précisément la borne entre choses admissibles et inadmissibles, n'approchez-vous pas près d'elle". Car il serait mieux ne la atteindre pas, au lieu d'aller au-delà d'elle, en apportant les mauvais fruits. Tout est bon avec mesure.
        Quoique rarement, néanmoins il y a des gens qui enclins aux jeux mortels et destructeurs. Et je vais découvrir devant eux une vérité que tout le monde cachait d'eux: "vous avez la probabilité de tomber très bas et de se trouver dans la plus morose place au Col Fétide, en devenant un tueur en série des victimes innocentes. Mais celui-ci qui a la probabilité de tomber très bas, la même personne a les chances de monter très haut, en devenant un grand Yogi, et alors le reste de la voie jusqu'au Sommet principal ne sera pas loin. Il est interdit d'aller selon la voie du Tantra dans ce cas, en acceptant toi-même tel, comme tu es, mais n'aller que selon la voie du Yoga. N'abîme pas ton Karma, car tu auras à payer pour tout. Tu apporteras beaucoup de chagrin et d'épreuves à chacune des victimes, néanmoins, tu même subiras tous ces chagrins ensemble, tant dans cette vie que dans les vies suivantes aussi. Et en comparaison de ces épreuves que tu subiras justement, les inconvénients que tu sentiras, s'en refusant à faire ces crimes, auront l'air du paradis. Tu ressembleras à Ésaü qui avait échangé la primogéniture contre un plat de lentilles.
        Et je ne te demande pas à quels jeux joues-tu, néanmoins ne laisse personne être malheureux. Tes jeux ne doivent pas rompre les familles formées et faire les gens être les ennemis entre eux. Bien sûr, si l'excitation intentionnelle des ennemis l'un contre l'autre à la guerre Sainte n'a pas lieu dans ce cas.
        Les gens deviennent malheureux souvent à cause de leurs préjugés. Si tu es tombé amoureux (ou tombée amoureuse) d'une personne de foule qui porte, comme les chaînes de l'ascète, les préjugés et préventions que la foule a les imposés à eux, d'abord aide-les à jeter et à rompre ces chaînes et à quitter la communauté qui entrave de marcher en avant. Si tu crois que ce soit possible, alors tente la chance de libérer le prisonnier de la superstition, mais "ne jetez pas vos perles devant les pourceaux", comme avait dit le grand Professeur, et ne continue pas à le tenter, si tes mots restent sans ouïr. Tu ne peux pas aimer un mort, même si tu le veux. En avenir des forces les réveilleront, dont tu ne disposes pas, car il n'est que la force de Dieu avait-elle pu ressusciter Lazare. Quitte ce cadavre qui ne peut pas répondre à ton effusion de coeur, jusqu'à ce qu'il revive. Tu ne l'aimes pas mais une image que tu as sortie de la profondeur de ton âme, c'est-à-dire, cette image qui est toujours avec toi, en difficulté et en joie, quand il fait chaud et quand il fait froid.
        Et n'essaye pas cette belle image aux cadavres puants, car l'amour qui séjournait toujours à la profondeur de ton coeur, il était toujours avec toi, il y sera toujours et quand tu grandiras spirituellement, tu l'apprendras, mais maintenant tu confie que c'est un phénomène Divin et il peut exister sans une apparence corporelle.
        Et ne l'insultes pas, en accusant toi-même de la faiblesse et de l'impressionnabilité, car l'amour ne fait personne faible. C'est au contraire, avec il tu seras plus fort, intrépide, et les sots ou bien les ennemis ne te dérouteront pas du chemin vrai. Si tu as conçu l'amour et maintenant tu le mis à la porte, un jour il t'obéira et s'ira et alors tout le monde transformera en enfer pour toi et n'importe quels biens ne pourront pas te consoler, ni spirituels, ni matériels. Si seulement les drogues qui étourdissent et privent de la raison pendant quelque temps, après de quoi la réalité paraîtra devant toi plus encore triste.
        Si tu viens de commencer à avoir pleine conscience de l'amour qui était toujours avec toi, puis garde-le, délecte de lui, remercie le très Haut pour ce don clair, et soit cet amour te fera ouïr la Cantique, et soit il chante, mais la société dans ton esprit, soit elle se tait, car le bonheur et la société ne sont pas compatibles.
        Joue à n'importe quels jeux qui plaisent à toi, s'ils n'apportent le mal à personne, sois libre. Sans rien dire fais ton coup et ne rends pas compte devant les gens sur les choses, qu'ils ne sont pas capables de comprendre, parce qu'ils ont choisi une voie incorrecte.
        Sais: avant de t'user à ses propres fins, comme un esclave ou comme un guerrier à la guerre injuste, la société a besoin de tuer l'amour en toi. La foule avait telle expérience pendant millénaires et continue d'agir par inertie, parfois même sans se rendre compte, pour que faire te rougir de la pudeur erroné, pour que provoquer tes remords faux. Mais ce n'est pas conscience, mais la peur basse de foule, et cette peur n'était pas approuvée par le Sermon du Christ sur la montagne où il avait dit: "Malheur, lorsque tous les hommes diront du bien de vous..." (Luc 6: 26), mais les prêtres et les autres qui sont les moralisateurs, tout ils passent sous silence cette partie de la vérité, en tentant ne parle rien sur elle, assez souvent ils font la leçon pour ses ouailles à chercher approbation à la foule.
        Il y a une connaissance secrète que le côté sexuel de la vie contient une énergie énorme, et autrefois cette connaissance était tombée dans les mauvaises mains, et pour qu'user une personne dans leurs buts, les adeptes du mal influencent-ils sur son côté sexuel de la vie avec l'aide des interdictions mal fondées, la morale hypocrite, les mots injures - avec l'aide de tout ça ils cherchent à faire pour que cet homme de foule bannisse-t-il l'amour dehors de son coeur.
        Ils créent les barrières là-bas où il n'y a pas besoin de ça, mais l'amour n'habite pas une cage et il en s'envole. Ainsi ils jettent sa victime dans l'enfer, en créant d'elle un usuel suppôt de l'enfer qui les sert "en tout bien tout honneur".
        Aime de la façon, comme tu veux, et n'aie peur de personne, et n'aie pas honte. N'apporte pas les mauvais fruits, c'est l'unique interdiction. Sois libre! Sans rien dire fais ton coup, sans augmenter le nombre des ennemis autant que possible, car ils sont mêmes qui te trouveront. Ils ne sauront pas mais sentiront que tu n'es pas de leur plan.
        Sois libre, n'imite personne, c'est un péché à imiter quelqu'un. Si le Seigneur a envie, il te ferait ressemblant à Christ, ou bien à Mohammed, ou bien à Bouddha, ou bien à Krishna. Mais il n'y a aucune répétition entre milliards des gens, entre trillions des créatures.
        Sois libre et joue à n'importe quels jeux, seulement ne nuis à personne. Sois libre et sache protéger ta liberté, sache protéger ton amour, sache protéger la vérité et la foi, car tout cela vient de Dieu.
        Sois toi-même et apporte la vérité là-bas où on peut t'entendre, mais ne tente pas de faire parler les morts. Sois toi-même, aime comme on te plaît, prends soin de l'amour dans ton coeur, seulement sans nuire. Sois toi-même, apprends la vérité et la science éternelle de la vie - tout ça sont des appuis, sans quels tu tomberas. Autant que possible, sois en paix avec tout le monde et n'attaque pas le premier.
        Sais: si tu vis comme tu souhaites et ne nuis à personne, mais on t'attaque, tu as droit de faire la guerre contre eux, et le Seigneur est au ton côté. Et dans ce cas la guerre sera sainte, et n'importe quelles pertes subirais-tu dans cette guerre, tu seras récompensé. Mais si tu sans faire semblant, mais tentes sincèrement d'être comme tout le monde, puis tu perdras tout et pour long temps.

Wednesday, December 24, 2014

Haut Pays. Chapitre IV. Les nationalités.

       Et de nouveau condescends-je à ceux-là qui n'ont pas fait encore les deux pas en haut. Ou n'a fait que l'un, mais sans avoir pleine conscience d'il, en prenant le résonnement des cordes de l'âme pour une lubie ou un amusement oisif. Et parmi ceux-là qui ont fait le premier pas y a-t-il ceux-ci qui sont confus. Mais la cause de leur confusion se distingue de ceux-là qui étaient confus à cause d'une foi étrangère. Ce temps je vais consoler ceux-là qui sont confus à cause des gens d'une autre nationalité.
        La nationalité est l'une des associations humaines. Qui sont-ils que Jésus-Christ nommait les plus proches, plus proches que parents? Je vais rappeler qu'Il nommait comme ça Ses disciples, à dire plus précisément, Ses adhérents, les frères de foi qui L'entendaient de bon gré et apprenaient. Ses parents de chair a-t-Il mis à la deuxième place, en montrant aux disciples avec les mots: ils sont "mon frère, ma soeur et ma mère".
        Bien sûr, entre les parents de chair sont-ils naturels les choses, comme l'amour, la sympathie, la compassion, l'entraide.
        Néanmoins, si ton parent s'est écarté de la vérité, soucie-toi que tout soit bien à lui, mais ne suis pas lui. Si le séjour commun au même foyer avec il mène aux querelles - quitte lui et ne cherche pas la réunion avec il. Ne tourmente-toi pour lui, car tôt ou tard chaque homme viendras au Sommet. Et maintenant remercie Dieu si entre vous il n'y a pas les controverses, mais l'affection de parenté et l'entraide.
        En plus grande mesure les parents sont éloignés, plus grande est leur quantité - c'est l'arithmétique naturelle. Et maintenant imagine-toi que nous examinons une grande foule des compatriotes qui sont des parents éloignés par rapport à l'un l'autre.
        Enfin, nous examinons les plus éloignés parents, éloignés en tel degré qu'on peut déjà les considérer comme étrangers pratiquement, quoique même ils ne soient pas étrangers, car tous les gens sont venus d'Adam et Ève. Néanmoins, ils sont éloignés l'un de l'autre à tel point que quelqu'un qui habite un autre pays, il peut se trouver plus proche de sang qu'un soi-disant compatriot.
        Qu'avons-nous vu au premier cas? - La fraternité spirituelle des adeptes.
        Qu'avons-nous vu dans au deuxième cas? - Les parents proches de chair.
        Qu'avons-nous vu au troisième cas? Une grande foule des compatriotes.
        Et qu'est-ce que nous avons vu au cas dernier? À simplement dire, une foule. Une nationalité est une foule. Une foule qui a des coutumes commune, dans une plus ou moins mesure, et elle possède un territoire commun qui s'était formé historiquement et peut être très étendu.
        Et si ton état qui a incorporé la communauté humaine, que tu appelles une nationalité, si cet état t'incite à la guerre contre une autre communauté humaine, es-tu sûre que ne te battras quelqu'un qui est plus proche de toi spirituellement, en disputant les intérêts de tes ennemis idéologiques? Est-ce que c'est excusable de perpétrer les homicides dans l'intérêt des gens du territoire commun, sans déterminer qui est donc plus proche de toi à l'esprit? Y a-t-il la probabilité de tuer les amis dans l'intérêt des ennemis?
        Tu te lèves à la formation de soldat à commettre les meurtres. Néanmoins, est-ce que tu sais au juste qui d'eux est dans le vrai? Est ta guerre sainte? Va-t-elle défendre les vérités éternelles: Dieu, l'amour, la vérité et la liberté? Est-ce que cette "mère-patrie" ou "nationalité", pour qui fais-tu la guerre, les défendent-elles? Ou ton idole va contre eux? Si tu fais la guerre, car dans le cas contraire le public te jugera, alors tu vas contre Christ. Et si tu te regards comme tel brave qui est capable se trouver à la guerre réelle, pourquoi tu ne tournes pas l'arme contre ceux-là qui t'incite aux péchés graves et crimes? Apparemment, il est dangereux dans tous les cas, ne serait-il donc mieux périr à la guerre sainte, comme un homme juste, au lieu de risquer sa vie précieuse sous le drapeau du Satan? Simplement ton esprit est aveuglé par l'idolâtrie devant la "mère-patrie", un parti, une nationalité ou devant une organisation.
        Donc jette les idoles et cherche ce qui vient de ton Seigneur: même Dieu, l'Amour, la Vérité, la Liberté. Et s'il ne faut pas sans guerre, puis fais la guerre pour eux, et s'il est impossible se passer de carnage, puis ne répands pas le sang en vain, ni ton, ni quelque d'autres. Et si tu cherches la vérité avec bon coeur et l'âme chantante, puis tu seras plus haut que n'importe quelle nationalité, parce que la foule, même si elle monte très haut, il y a un limit pour elle, et au-delà de ce limit on ne peut monter que tout seul. Et il y aura de la thés bonne chance, si tu vois un compagnon de route, cherchant le même Sommet, en escaladant en haut sur les versants grandioses du Haut Pays.
        Il y a des peuples qui sont monté haut. Le peuple tchétchène est monté assez haut. Parce que, quoiqu'ils ne croient pas que Jésus-Christ était crucifié, mais ils respectent son commandement à aimer Dieu et ses prochains. Il y a pas beaucoup de places à terre où peut-on trouver telle l'entraide et l'appui mutuel entre les gens. Quant à l'aspect côté matériel, ils sont les parents éloignés entre eux-mêmes dans une plus grande mesure qu'une nationalité.
        Il y a en Inde aussi les communautés des croyants qui sont montées très haut, car elles sont tolérantes et interdiraient de faire le deuxième pas au Haut Pays moins que tous les autres.
        Les pays anglophones sont y compris ceux-ci qui sont montés très haut. La tradition à cacher son foyer de regards indiscrets et blâmant, en liaison de la foi protestante, tout ça a monté ces peuples à la hauteur limite, et il est peu probable qu'une foule soit capable de monter plus haut. Et celui-ci qui est le plus fort entre eux, America, (c'est-à-dire, l'États-Unis) il veille les droits humains partout à terre, mais ne fais pas une idole même de ce pays. Et si America n'existe pas, il est assez probable qu'un état méchant et barbare exerce une influence à l'humanité et cet État réussirait à devenir le plus fort. Et alors dans chaque pays seulement les oppresseurs de la liberté, despotes et tyrans se sentiraient à l'aise maltraiteraient ses sujets, comme ils voudraient, et n'oserait personne faire honte à eux, en disant: "vous violez les droits humains!" Alors illégalités inouïes s'augmenteraient partout à terre, et beaucoup de ceux qui lit maintenant ces lignes, ils voudraient s'aller de cette vie prématurément, en étant sous une oppression sans limits.
        C'est pourquoi supplie ton Seigneur à garder l'America, néanmoins a condition que ce grand pays continue de veiller ces grandes vérités: Dieu, l'Amour, la Vérité, la Liberté, car ces vérités ne viennent pas d'un État, mais à cause du très Haut. Et un État est capable d'être ou bien un gardien, ou bien un brigand de ces trésors Divins. Et la prière n'est opportune que pour un gardien d'eux. Mais ne fais pas une idole du gardien. Il ne faut pas adorer n'importe quel État, ce serait une idolâtrie. Si adorer une nationalité, une foule - c'est une idolâtrie. "Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul"(Math 4: 10).
        Et ne fais pas un jugement sur n'importe quelle nationalité. Tu te prives la liberté par cela à être né dans la vie suivante, en appartenant à la nationalité que tu juges.
        Et comprends ce que n'importe quel sot est capable de comprendre: pas ton origine ethnique, mais le choix que tu feras, c'est lui qui définira ta situation au Haut Pays ou dehors d'il.
        Et sais: si tu choisis vivre comme tout le monde autour de toi, tu te saliras par tous les péchés et crimes de la foule, une partie de laquelle tu te crois. Parce qu'il n'y a pas une idéale nationalité sur la terre, le fruit de laquelle il pourrait être quelque chose comme Eldorado, et chaque nationalité a son défaut. Ou des péchés personnels ne sont pas assez?
        Si tu fais la guerre, puis défends ceux-ci qui sont proches et chers à toi, et dans ce cas ta guerre est sainte, car tu fais la guerre pour l'amour. Mais la nationalité, quel rapport a-t-elle, cette foule?
        Si tu fais la guerre pour tes propres convictions, pour ta foi, puis ta guerre est sainte, et tu la fais pour la Liberté. Mais la nationalité, quel rapport a-t-elle, cette foule?
        Si tu fais la guerre, car une foule veut ça, il serait difficile à trouver un péché plus grave et le châtiment pour il n'est pas loin. C'est le même qu'à exciter un tigre, en étant suspendu à l'air à l'aide une corde mince. Et si l'ennemi des âmes humaines a besoin de te pousser au Col Fétide avec les ruisseaux de l'eau bouillante où les bords sont formés de charogne qui se décompose, alors où cela plus l'arrange de le faire, sauf à la guerre injuste dans laquelle tu participes? Néanmoins, si ta guerre est sainte, et il n'était pas possible de l'éviter, puis tu es plus haut que toutes les communautés, et chacune ta perte, excusera-t-elle beaucoup de tes péchés, et il n'y a pas la mort pour toi, mais une interruption du jeu intéressante que tu appelles la vie et tu veux à la regarder jusqu'au bout.
        Sais: si tu as fait deux pas en haut au Haut Pays, puis maintenant tu es plus haut que toutes les nationalités à terre et tu n'as rien à voir avec les foules de la vie terrestre. Et il n'y a qu'un peu ceux-là qui se trouvent plus haut que toi et qui continuent à aller en haut et les Illuminés qui ont atteint le Samadhi. Tu même et tes frères et soeurs de la foi, tout vous qui avez fait deux pas en haut et qui, en entendant le Cantique, avez reconnu les siens aux tous bouts de la Terre, vous êtes l'unique nationalité supérieure, indépendamment de la couleur de votre peau et de l'identité nationale; et le reste des nationalités ne sont que des foules.
        N'aie pas peur des foules stupides et ne te trouble pas, car selon leur raisonnement ils sont proches aux animaux. Et s'ils sont en condition d'antagonisme avec toi, recorde-toi qu'ils ne sont que seulement comme des enfants nigauds et un jour ils se trouveront à ton niveau, lorsqu'ils grandiront spirituellement, alors ils se mettront en route au Sommet, et on ne sait pas qui de vous viendra premier. C'est pourquoi le Seigneur Jésus-Christ priait Dieu pour eux, quand ils L'avaient crucifié. Parce que chaque unité humaine est une potentialité, c'est une semence qui germera tôt ou tard.
        Néanmoins, si tu es un chercheur de vrai, la foule stupide ne doit pas te mener à la suite. La foule stupide que tu appelles "nationalité", elle ne peut être ni un sujet de l'imitation, ni un objet d'adoration. Il est peu importe, en quelle hauteur une foule est monté-elle, elle n'est qu'une foule seulement. En avenir ils germeront, mais en ce moment ils ne sont que semences. Si tu as les parents proches, aime eux, soucie-toi d'eux, mais ne tire pas leçons d'eux, si tu sais à vivre. Si tu es "germé", les semences ne sont pas une autorité pour toi.
        Si les cordes de ton âme sont capables de résonner, il est temps pour toi à te séparer de la foule, si ne pas s'aller physiquement, puis au moins mentalement. Écarte-toi d'eux et observe sans parler, autant qu'elle est stupide, la foule humaine où tous d'eux pensent de la même manière et sont debout au même lieu. C'est les sots qui cherchent à vivre et à penser, comme tout le monde autour d'eux, et à cause de cela ils ne se développent ni mentalement, ni spirituellement, et ils ont besoin de beaucoup de mal, pour que les faire sortir de sa stupeur.
        N'importe quelle nationalité n'est qu'une foule. Néanmoins, un penseur et chercheur, dans l'âme duquel la Cantique est capable de résonner, il n'appartient plus aucune foule et est exempt de toutes les nationalités.

Sunday, December 21, 2014

Haut Pays. Chapitre III. Les religions.

       Qu'est-ce qui t'empêche, es-tu mon frère ou soeur de la planète Terre, te mettre en cette route? Qu'est-ce qui répande les doutes et peurs dans ton coeur? Qu'est-ce qui a immobilisé tes jambes et empêche aux cordes de ton âme de répondre au parfait Cantique que tu cherches à étouffer?
        J'ai deviné les peurs et doutes d'une grande partie des frères et soeurs de la planète: en général ils ont peur de se mettre en marche à la trace de l'homme d'une autre foi.
        Néanmoins est-ce que j'ai dit une bonne fois que tu changes ta foi? Il s'agit de la foi en Dieu Unique, dont certains entre vous L'appellent Allah, les autres - Élohim; certains - Absolu, les autres - Brahman; certains - Jésus, les autres - Krishna. Beaucoup des peuples appellent beaucoup des Noms du Dieu Unique, mais tu L'appelles par ce nom qui est en harmonie avec ta foi. Est-ce que j'ai t'invité à suivre après moi sur les traces, comme un limier. Est-ce que j'ai dit que je viendrai au sommet plus tôt que toi dans tous les cas? Tous les croyants viendront tôt ou tard au sommet où ils sont attendus toujours et où il est prédestiné à faire le dernier saut à la condition de l'âme que les Hindous nomment Samadhi et Jésus la nommait comme "la Naissance de nouveau". Ne demande pas qu'il y aura, mais crois en Dieu et en Ses grands Prophets qui affirmaient que le bonheur vrai n'existe que là-bas.
        Tu demanderas: "de quel genre est l'arrêt ultime, plus haut duquel l'autobus ne peut pas monter et aller plus loin n'est possible qu'à pied, tout seul, où il est dangereux, et il faut se tenir sa foi comme la rampe d'un escalier et où les beautés de la nature s'ouvrent plus en plus si monter toujours plus haut, en s'approchant du Sommet?"
        Je vais répondre: ce n'est pas un seul arrêt d'autobus, ce n'est pas un seul plateau où la foule s'est rassemblé et ne peut pas monter plus haut. Il y a beaucoup d'eux, il y a d'eux autant que des croyances sur la Terre, et ces arrêts sont les églises, les réunions ou les communautés des croyants qui sont nommés d'une autre manière.
        Il y a beaucoup d'eux. Ils sont situés aux niveaux différents, mais même ceux-là qui sont situés au-dessus de tous les autres, ils sont très loin du Sommet principal, parce qu'il y a un limit pour la foule, plus haut duquel n'est-elle pas capable de monter, parce que la foule est stupide, et cette vérité est actuelle pour tous les temps et les peuples.
        S'il n'est pas comme ça, on n'aurait pas lapidé les prophets, en rendant la gloire à eux au bout de plusieurs siècles. S'il n'est pas comme ça, la Terre n'aurait jamais été gagnée par le feu apocalyptique du totalitarisme, les adeptes duquel s'appelaient communists et national-socialistes, même ils faisaient la guerre entre eux, mais en fait ils proclamaient la même doctrine diabolique qui estime comme si la foule soit plus haute que la personnalité.
        Et les fruits étaient terribles après la doctrine qui estimait la foule plus haut que la personnalité. Car Seigneur a estimé l'être humain haut, plus haut que tous les anges, donc cela a provoqué la jalousie de l'ange déchu qui s'appelle en certains pays Lucifer et en autres pays - Iblis. Et il est devenu un adversaire de Dieu, donc Satan. Et il a ravi avec il une partie des anges qui sont devenu les démons. Et ils usaient les gens qui ont choisi le pouvoir de la foule au lieu du pouvoir Divine, d'univers. Et ces gens surpassaient en ses crimes tous les tyrans et scélérats de l'Âge obscur qui s'est allé, et ces tyrans et leurs obséquieux compagnons d'armes, ils ont tué plusieurs dizaines millions de personnes, en transformant le reste en troupeau du bétail qui ne ressemble aux gens qu'en apparence, et seulement ceux-là qui cherchaient la vérité et avait envie de monter plus haut, il y était donné de voir en vrai lumière tout ça que passait et d'être consterné.
        Et les agents du Satan ont substitué l'adoration de Dieu Unique par culte de fosses doctrines et idols. Et en comparaison des innocentes idoles forestières ou de pierre qui avaient l'air drôle, ces monuments et momies ont porté à l'humanité les calamités innombrables. Les usines de la mort fonctionnaient jour et nuit et beaucoup plus qu'une année, et les drapeaux des adeptes du diable, ils étaient de la couleur écarlate de sang. Est-ce que l'Apôtre Jean le Théologien ne prévenait-il pas de la bête écarlate? Est-ce qu'il ne prévenait pas du dragon rouge? Voilà les fruits de l'athéisme, de l'incrédulité! Voilà les infidèles vrais!
        Néanmoins, la conflagration du totalitarisme n'est pas encore éteinte. Elle faisait rage avec flamme éclatante et maintenant elle couve, fume et même engloutit les gens, quoique au moins grande quantité. Et à tout moment elle peut s'enflammer plus encore si le vingtième siècle ne sert pas comme une leçon pour l'humanité stupide.
        Mais n'aie pas peur. La mort ne peut pas vaincre la vie. L'obscurité ne peut pas vaincre la lumière. Ce n'est que les matériels didactiques pour les élèves négligents. C'est comme les lourds équipements sportifs pas pour les muscles, mais pour l'âme. C'est les ombres qui seulement soulignent la beauté de la Lumière éternelle pour que tu estimes son bien. Est-ce possible d'enseigner un élève négligent à aimer la liberté de l'autre façon que l'emprisonner? Pense-y. Et ne murmure pas contre ton Seigneur, et ne reproche pas Lui en cruauté. Il a donné les grands dons à toi: la conscience, la raison, l'intuition et beaucoup d'autres que tu ne sais pas. Mais tu les as mis au frigidaire et apprends à vivre de ceux-là qui ont fait la même erreur.
        Si tu uses ton intelligence, tu saurais qu'en notre époque apocalyptique il est possible déjà de prouver scientifiquement l'existence de la Cause Première raisonnable, car qui a construit le code génétique de la cellule vivante? Et si un génie extraterrestre l'a construit, alors qui a créé le dernier?
        Et qui est-il qui avait ajusté si exactement les mondiales physiques constantes fondamentales? Si elles juste un peu changent, et notre univers physique ne pourrait pas exister, mais il existe. Tu peux t'aller de la question, néanmoins un jour ou l'autre tu devras la répondre.
        C'est pourquoi ne doute pas en ta foi et n'aie pas peur des religions "étrangères". Nous voyons tout, comme à travers un verre terne, mais tout s'éclaircira, quand nous deviendrons Illuminés.
        Ne juge pas un arbre sans goûter ses fruits. N'est-ce pas que Jésus l'enseignait? Chaque religion a son défaut. Dans le cas contraire nous verrions un certain Eldorado sur la Terre, mais nous ne le voyons pas. Tous les gens sont pécheurs modérément, partout il y avait les guerres, tout d'eux violaient les commandements divins. Tous les gens sont pécheurs modérément, parce qu'ils croient tous ensemble, mais il y a la foule s'ensauvageant des athées qui sont dans une autre foule qui a engendré les doctrines diaboliques inouïes jadis et les fruits de ces doctrines ont fait l'humanité d'être consterné.
        Et donc reste dans ta foi, spécialement si elle est consonante avec ton âme, mais pas avec la foule que t'entoure, néanmoins évite l'athéisme et l'idolâtrie. N'adore pas les monuments et momies, les notions abstraites comme la "Mère Patrie", l'état, un parti, une organisation - c'est des idoles, et ceux-ci qui sont sains spirituellement, ils n'ont pas de goût à tout cela. Et tout ça qu'aiment ceux-ci qui sont sains spirituellement, soit c'est le gazouillement des oiseaux à la forêt matinale, la fraîcheur d'une rivière ou lac, un beau coucher du soleil à soir doux en été ou bien au soleil levant au matin frais avec brouillard au-dessus de la rivière, les discours bons sincèrement des amis ou parents, les corps enjoués de tes bien-aimées, de ceux-là d'eux dont les âmes ne sont pas mortes, ou une chanson préférable, ou bien quelque chose autre - tout qui t'a fait entendre celui-là grand Cantique, à cause duquel les cordes de ton âme tremblaient - tout ça ne répand pas, mais seulement reflète cette Lumière invisible et éternelle, ce grand amour qui vient de ton Seigneur. Sois reconnaissant à Lui, et Il te n'abandonnera pas, et il n'y a sur la Terre aucun gouverneur, mais seulement conducteurs de Ses biens, parce que sans cela sera-t-il difficilement, presque impossible de Le voir, pendant que tu es à la condition de l'enfance spirituelle. Lorsque tu grandiras spirituellement et te renforceras, alors tu n'auras pas besoin de tout ça, car à quoi bon les réflecteurs et conducteurs, tandis que Il Même luit pour toi par la lumière éternelle et inextinguible?
        Néanmoins aux idoles fausses n'y a-t-il pas Sa lumière, mais n'est que l'ombre. Les cordes de l'âme ne résonneront jamais à cause de la "Mère-Patrie", du parti, de l'état ou de l'organisation, car il y aura l'éloge des sots et boucs, la flagornerie obséquieuse et flatterie, mais il n'y aura pas la lumière invisible qui vient du Seigneur, et là-bas où il n'y a pas Sa lumière, un ombre se trouve qui est le même enfer. Alors tu boiras l'eau bouillante du ruisseau fétide et inhaleras la puanteur au bord plein d'une moisissure qui se décompose, l'éloge des sots t'hypnotisera, leur flatterie assoupira la douleur de ton âme, et un jour tu te réveilleras, en étant épouvanté, et feras pénitence. Ne serait-il pas mieux le faire maintenant?
        Tu te plains que sens mal à ceux-ci, avec qui tu peux être sincère, mais en pleine rue fais semblant comme si tout aille bien, car tu as peur de ne pas entendre l'éloge des sots à laquelle tu es accoutumé comme à l'opium. Tu te plains que sens mal, alors cesse de marcher le long des labyrinthes de l'enfer, abandonne les!
        Tu vas demander: "où est la sortie donc?"
        Reste seul où rien ne pourra vous distraire. Ou reste tête-à-tête avec une personne, avec qui peux-tu être aussi sincère et franc, comme avec soi-même, et ne reste avec elle que si vous, tous les deux, pouvez être comme un.
        Et lorsque rien ne te distraira, fais ton premier pas en haut: cherche avec zèle quelque chose qui fera résonner les cordes de ton âme, trouve quelque chose qui fera tes yeux étinceler à cause de larmes de joie, et si dont n'est détruit rien, sache que c'est de Dieu. Et si tu ne croyais pas en Lui, demande pardon de Lui. Et si tu ne croyais pas en Lui ou bien croyais pas en Lui, mais vainement en quelque chose de quoi l'âme ne peut pas chanter, alors remercie Lui pour cette joie, de laquelle Il t'a doué. Tu étais aveugle et te détournais de la lumière, mais Il luisait à toi et continue à luire.
        Mais peut-être tu as déjà vu Son rayonnement invisible, néanmoins tu ne L'as pas reconnu et as jugé comme si ce soit une lubie? Et peut-être, lorsque les cordes de ton âme retentissaient, en obéissant au conseil des sots, tu as jugé comme si ce soit une lubie? Il t'appelait, mais tu n'a pas reconnu sa voix, néanmoins tu le sais maintenant.
       Et si les cordes de ton âme ont commencé à sonner, tandis que il n'est détruit aucune vie ni santé, alors ne doute pas, ta voie est juste. Et si ta joie est pareille à la joie du roi David et à cause de ça rien n'est détruit, alors tu es monté un pas plus haut que la foule des coreligionnaires.
        Maintenant souviens-toi: si à l'autre bout de la Terre, même dans une autre religion, même à un autre temple a-t-il une personne qui a pu entendre la Cantique en ne détruire rien à cause de ça, alors c'est ton frère ou ta soeur de la foi, et quand tu l'apprends, tu feras ton pas deuxième. Si vous tous les deux avez fait ce PAS DEUXIÈME, vous n'estimerez plus l'un l'autre comme les infidèles. Il ne peut être infidèle qu'une foule, mais pas ton frère ou soeur de foi. Dans le meilleur cas une foule peut être faible dans la foi, c'est-à-dire, non développée. Au pis aller - une synagogue de Satan. (Apocalypse 2: 9)
        Souviens-toi que Jésus prêchait une chose et soi-disant prêtres - une autre. Et étaient près de Dieu ceux-ci qui écoutaient Jésus dans la rue, mais pas la foule qui était au temple. Parce que Dieu est là-bas où il y a la Vérité. Parce que là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Parce que Dieu est amour. Et que ton coeur ne se trouble point: si tu es sincère à la recherche de la vérité, mais tu séjournes dans l'erreur, ton erreur sera vue tôt ou tard, et alors il sera très simplement à l'éliminer comme un éclat de bois qui a émergé à la surface d'un lac, et en jetant l'un mensonge après l'autre, tu t'approcheras du Sommet.

Friday, December 19, 2014

Haut Pays. Chapitre II. Le Cantique.

        Néanmoins, avant que se mettre en route, attendris ton coeur. Tourne-toi avec prière vers Dieu Unique en Qui tu crois. Et n'aie pas peur. Le chemin est dangereux, mais le Grand Gardant te gardera.
        Secoue les dépôts de ton souvenir! Cherche tout ce là-bas qui est gentil et cher à toi. Soit ta joie douce augmente. Tire de là tout qui est capable de t'emmener de la condition de sécheresse et d'indifférence. Tire-le jusqu'à ce que des larmes, pas les larmes du chagrin, mais de la joie, soit elles étincellent sur tes yeux, en reflétant la lumière vue. Et cela signifiera que l'Esprit Saint s'approche de toi, juste comme Il s'approchait du roi David. Cela signifiera que la Cantique commence à résonner dans ton âme, ce grand Cantique que les élus chantent. Le même Cantique, sans laquelle ne pourras-tu aller, et si tu vas sans ce cantique, alors tu ne pourras pas faire même un pas. Il ne sera que semblé aller, mais seulement tu feras rire ceux-là qui se trouvent plus haut et dont tu ne peux pas encore comprendre. Ils verront que tu continues à rester au même lieu, quoique remues les pieds.
        À forcer toi entendre ce Cantique, c'est la prière qui le peut. À forcer toi entendre ce Cantique, les chansons séculières pourront cela, ceux-là d'eux qui sont consonants à ton âme. À forcer toi entendre ce Cantique, les voix des oiseaux pourront, qui glorifient Dieu en lice, à la forêt matinale au printemps, quand la verdure fraîche est venue à la place de la mort froide et blanche et a rappelé sur la vie éternelle et l'indestructibilité de personnel "moi".
        Aie en vue que ce Grand Cantique est un tintement des cordes de ton âme, sur qui, peut-être, tu ne devinais jamais, si tu sentais quelque chose en effet, t'y ne pouvais pas interpréter, et ce Cantique cessait à cause des condamnant regards des gens de ton milieu. Mais ils n'étaient pas coupables en ton ennui, ceux qui chantent ce Cantique. Et même ce ne sont pas les gens qui riaient de toi en effet ou en ton imagination. Mais tu même te détournais de ce qui est haut et saint, de quelque chose unique qui est capable de te faire heureux. Il est possible que maintenant tu sois malade en chair et enivres du vin à cause de ça. Ou les autres qui enivrent au fond du Col Fétide, ils t'appellent: "descends chez nous! Nous avons un remède contre l'ennui. Évanouis-toi avec nous ensemble!" Et tu vas humblement comme un cheval qui est mené par la bride, en plongeant toujours de plus en plus profondément, à concevoir tous les cercles de l'enfer, tous les labyrinthes de la géhenne, parce que tu dois te faire une brûler pour que te réveiller et chercher la sortie.
        Donc sors tout de suite et cherche ce qui fera jouer les cordes de ton âme! Tu demandes "quoi chercher?" Je citais déjà les exemples, mais il y a beaucoup plus de ces exemples que j'ai cités. Il y a d'eux autant qu'il y avait, il y a et il y aura des gens sur planète. Parce que les cordes de l'âme de chaque être humain, elles sont accordées à sa propre manière, unique et incomparable. C'est pourquoi cherche jusqu'à ce que la résonance coïncide, quand les cordes de ton âme commenceront à trembler, quand les larmes de joie étincelleront comme les diamants purs sur tes yeux, quand l'Esprit Saint s'approchera de toi, et tu entendras le Cantique qu'il est impossible d'interpréter à l'aide de langues humaines, mais par les autres langues qui ne sont pas connues sur la Terre, quoique chacun sache les parler, néanmoins, seulement ceux-là qui sont montés assez haut, ils sont capables de commenter ces langues.
        Et si tu as entendu ce Cantique, alors tu as fait le premier pas, seulement un pas unique mais important, car il est le premier d'eux. Et maintenant il faut le savoir, tu ne pourras faire même un pas dans ces Montagnes Hauts, si ton âme se tait.

Wednesday, December 17, 2014

Haut Pays Chapitre I. L'appel pour la Voie.

       Tu viens de prendre ce livre aux mains. N'enquiers-toi pas de mon prénom, car cela dirait sur rien. Je ne suis ni un ange et ni un saint, mais je suis le même que tu, c'est-à-dire, un être humain qui est né sur la planète Terre au même milieu du siècle agité et contrastant, du siècle XX; et je suis né à l'aube du soleil, quand il se trouvait au milieu de la constellation d'Écrevisse, et la Lune, en étant au déclin, elle le suivait, en retardant de deux constellations zodiacales, quand les oiseaux aux forêts ne s'éveillaient pas encore, elle luisait comme lettre "C" dans le ciel matinal.
       Je t'invite à un voyage au pays des plus hautes montagnes; c'est plus haut que l'arrêt ultime où l'autobus serait capable de monter. Et au-delà de ce point iras-tu à pied solitairement.
       Il y a des règles appropriées dans ces montagnes. Celui-ci qui se trouve plus bas, pas toujours peut-il voir celui-là qui se trouve plus haut, et même s'il lui voit, alors il ne le pourra pas comprendre.
       Je crois qu'il y a un sommet dans ces montagnes, le sommet qui est plus haut que la Mont Everest, et cette croyance m'attire en haut là-bas.
       Et plus haut je monte, plus de beauté s'ouvre devant moi, et cela raffermi ma foi que je suis sur la bonne voie.
       Voilà pourquoi avec compassion regarde je à la foule qui se rassemble à l'arrêt ultime, au-delà de lequel l'autobus ne peut pas monter. Ils croient comme s'ils aient atteint leur but et tout le reste soit fait par un autre.
       Ceux qui ont atteint cet arrêt d'autobus, ils croient aussi qu'il y a la Maison là-bas sur la plus haut Montagne où ils sont attendus toujours, néanmoins comme s'ils n'y aient pas besoin d'y aller.
       Certains d'eux brûlent d'envie de se mettre en route, mais en jetant un coup d'oeil à la foule, ils perdent son assurance tout de suite.
       Ceux-ci qui sont debout au bas, ils ne peuvent pas comprendre ceux-là qui ont l'audace de monter plus haut, et ils crient: "tu te démènes! Il est dangereux là-bas! Tu as laissé la voie vraie. Tu tomberas au Col Fétide! Écoute-nous, nous sommes dans le vrai, parce que nous sommes un grand nombre".
       Et en écoutant eux, et en confiant à eux, celui-ci qui a failli se mettre en route, il retrace, en baissant la tête et en éteignant son regard, en proférant d'un air coupable: "c'est au-dessus de mes forces. Il sera mieux, je séjourne ainsi que toutes ensemble".
       Néanmoins, il avait assez de forces, mais il les a perdu. En croyant que la majorité ait raison toujours; il a perdu ses forces.
       Bien sûr, cette foule porterait profit, si elle élève quelqu'un, qui périssait au Col Fétide, jusqu'à son niveau. Grâce à eux, le sauvé fera un grand pas en avant, s'il se joint à eux. Néanmoins, celui-ci qui brûlait d'envie de monter en haut, il ferait un pas en arrière; sans désirer de se séparer de l'entourage.
       ET SANS DÉSIRER DE SE SÉPARER DE L'ENTOURAGE, IL N'EST PAS POSSIBLE DE MONTER PLUS HAUT QUE CET ENTOURAGE OÛ TU T'A TROUVÉ (OU TROUVÉE) À L'AIDE DE TON CHOIX PLUS QUE DES VICISSITUDES DU DESTIN.
       Mais tu as pris aux mains ce livre, et je t'invite au voyage et je ne dissimule pas que ce voyage est dangereux. Et se pourquoi élève ta prière à Dieu Unique que tu crois et pour que ni moi, ni quelqu'un d'autre, personne sauf Il-Même ne soit te sauvegardera.
       Crois en Dieu, et Il ne t'abandonnera pas et ne te laissera pas à périr sur la voie qui est prescrite pour toi par Il.
       Car si tu dis, "à quoi bon tout ça à moi?" et tu continues à séjourner au niveau qui est atteint, plus longtemps tu restes là-bas, plus fort une tristesse inexplicable t'étranglera.
       Et n'importe quels biens de vie aurais-tu atteint, ils te réjouiront pour deux-trois mois, mais tu t'accoutumeras à eux vite et auras envie de quelque chose plus grand. En atteignant ce qui est plus grand, en réjouissant toi par rayonnement excellent peu de temps, il tombera en poussière aussi.
       ET UN JOUR TU APPRENDRA QUE TU MANQUES L'ESSENTIEL.
       En voyant que tu séjournes à la même place, des visiteurs mal venus commenceront à te visiter à titre des petits malheurs et désagréments. Néanmoins, si tu continues de faire des erreurs, alors tes visiteurs mal venus reviendront chez toi et chaque fois ils seront devenus plus grands et auront un aspect toujours plus effrayant et ils ne renonceront pas. Cela continuera jusqu'à ce que tu quittes tes erreurs et que tu comprennes tout un effroi de ton choix erroné.
       Tu diras: "cela ne peut pas être. S'il va comme ça, ce serait cruellement et pas justement".
       Mais il faut donc te réveiller. TU ES NÉ À VIVRE, MAIS TU AS CHOISI LA MORT. TU VIS UNE VIE QUI N'EST PAS COMPLÊTE. ET LA RESPIRATION QUE TU RESPIRES, N'EST PAS COMPLÊTE. IL N'Y A PAS D'ENTRAIN DANS TES YEUX.
       Et la mort que tu as choisie, elle est comparée avec un sommeil profond. Et plus profondément tu dormes, plus fort agira ce Qui Réveille.
       Une fois tu as fait un choix erroné. Et plus longtemps tu persistes en cela, plus clairement verras-tu ta faute.
       PARCE QUE LA VIE EST DONNÉE À TOI, POUR QUE TU TIRES DES LECONS.
       Et ta faute, ta leçon désapprise apparaîtra devant toi en plus et plus gros plan, et chaque fois toujours plus et plus laide. Et ... un jour tu comprendras tout.
       Passant plusieurs cercles des souffrances qui seront toujours augmentants, tu chercheras la sortie, en voulant enfoncer toutes les portes.   
       Beaucoup de portes seront verrouillées, mais si tu chercheras avec zèle, et tu seras forcé de chercher avec zèle, une foi tu saisiras une porte qui sera ouverte.
       Et alors tu te recorderas qu'on t'appelait, mais tu ne venais pas. Et alors tu comprendras que tu perdais le temps en vain. N'est-ce pas mieux se mettre en route maintenant?

Wednesday, November 26, 2014

Le bétail populaire.

Dès le début il faut remarquer que l'origine l'homme de singe, aussi la majorité des autres aspects de la théorie de Darwin - tout cela ne sont que les hypothèses en fait, pas des faits prouvés à l'aide de la science. Cependant on peut observer la ressemblance du comportement conformiste chez l'espèce d'animaux assez différente, non seulement chez mammifères. L'instinct du conformisme fonctionne efficacement et impeccablement. Il suffit de remarquer un danger par un seul membre du troupeau, cette peur transmet en un instant à tous d'un troupeau qui ou bien se met en fuite, ou bien occupe la position défensive, tout ça en dépendance de la sorte du danger.

Si nous prendrions un laps de temps à peu près 100 ans, évidemment, il n'y a pas observé du développement évolutionniste, c'est pourquoi cet instinct ne peut endommager à rien, c'est pourquoi il n'y a rien de cela, qui peut être endommagé. Il ne serait superflu à remarquer que le comportement conformiste au troupeau des animaux, n'est-il aucune conséquence de n'importe quelle contrainte. Un individu qui est se séparer du troupeau, ne serait-il comme un objet d'attention fixe, aussi c'est plus probablement qu'il soit ignoré par troupeau. Et le comportement de l'homme primitif, peu probable qu'il puisse se distinguer considérablement de celui-ci des animaux grégaires et cela est indépendantement de l'origine réelle des êtres humains.

On pourrait consacrer une énorme quantité des pages à la description de la transformation progressive de la situation primitive à cette situation sociale qu'on nomme "civilisée" qui dure pendant quelque mille années dernières. Il est possible qu'il y ait ceux qui ont envie d'étudier et décrire cette transition progressive de la situation sauvage à celle civilisée, il est possible aussi que n'importe quelle utilité aurait lieu de ses recherches, mais nous ne possédons pas de machine de temps pour retourner au passé loin et apporter nos corrections à ce processus et c'est le plus probable que pour le mieux. Cela est pour le mieux, car l'intervention au cours naturel des évènements, comme d'habitude, elle ne mène pas à n'importe quel bien. Mais nous sommes devant le fait qui est déjà accompli: nous habitons ce monde civilisé établi, malheureusement, avec l'instinct du conformisme se conservant et pour apporter de correction à son propre destin - chacun est libre à faire cela. C'est pourquoi nous allons examiner la civilisation et la société à la condition que nous les ayons trouvées, en étant né dans cette époque, et qui existent pendant quelques siècles derniers.

Par exemple, nous prendrions n'importe quel laps de temps dans cette période historique, partout et toujours une régularité est observée, le même modèle d'un aspect intéressant des relations sociales: le modèle de l'opposition d'une personne douée et de la foule arriérée et médiocre, c'est-à-dire, du bétail populaire.

Jésus-Christ mentionnait beaucoup de fois dans les Évangiles sur les persécutions des Prophètes et des Professeurs de l'humanité, et enfin Il Même est devenu une victime de telle persécution. Il paraîtrait que la part de l'humanité qui a cru en Lui, les chrétiens comme en Dieu et les musulmans comme en Prophète, c'est elle qui aurait reçu une bonne leçon à l'avenir et aurait dû de tirer des conclusions correctes. Mais le bétail populaire de tous les temps et de tous les peuples, c'est il qui refait tout toujours à sa guise. Et dans le cas donné une opinion totale est formée que ce soient les Juifs qui sont coupables en persécution à Christ. Mais en réalité sur la Terre il n'y avait pas tel pays, il n'y avait pas telle nation où Jésus-Christ ne serait pas subi à persécutions du bétail populaire d'une manière ou d'une autre. En accusant des Juifs, la même foule à la même manière continuait de persécuter ceux-là qui sont plus nobles et plus intelligents qu'elle est; ceux-là étaient persécutés par elle, qui menaient l'histoire et le progrès à l'avant. À l'époque tournante de la Renaissance, sous la couverture de la "chasse aux sorcières" on a brulé vifs Jean Gous et Janne d'Arc et beaucoup d'autres personnes admirables. Cette lutte, cette opposition aggravait à chaque époque historique des changements.

À vingtième siècle cette opposition est aggravée comme jamais. Les mots prophétiques de Jésus-Christ sont réalisés:

"Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez."

Et ils sont venus "en son propre nom": Lénine, Staline, Hitler. Et ils tentaient d'implanter un enfer sur la Terre, mais l'humanité a gagné ce round avec les pouvoirs de l'obscurité. Le bétail populaire adorait avec obséquiosité les dictateurs sanglants, étendait les chemins de tapis devant eux, croyait en leurs promesses sans preuves, applaudissait. Mais le mal qui est imaginé comme tout-puissant, c'est il qui a ses propres faiblesses malgré tout. La faiblesse première: les pouvoirs du mal ne peuvent pas exister en paix entre l'un et l'autre. La faiblesse deuxième: la vie selon mensonge fera sentir négativement sur l'économie tôt ou tard. Justement ces deux facteurs, c'est ils qui ont sauvé l'humanité.

Revenons au Moyen Âge tardif et à la Renaissance. Précisément dans cet instant de l'histoire le commencement du progrès est-il mis. Il s'agit du progrès non seulement technique, mais aussi du progrès social. Maintenant c'est à temps à mentionner en abrégé la psychologie de l'homme de la foule, c'est-à-dire, la psychologie de la vis du système.

C'est impensablement de s'opposer contre l'opinion publique pour un homme de la foule. Il ne s'habitue pas à penser indépendamment. Son cerveau est développé à la même façon, mais il n'en utilise pas. C'est pourquoi d'être seul est péniblement et terriblement pour lui. Au contraire, en se trouvant dans la foule, le soutien de cette foule peut annuler telles forces puissantes comme l'instinct sexuel et même celui de conservation. Justement, il existe le dicton russe: "На миру и смерть красна". (Dans le monde même la mort est belle). S'il va avec foule là-bas où il y a du danger, la même présence de la foule le calme, le berce, l'endort. Si quelqu'un est tombé mort près de lui, il sent que tel accident est peu probable avec lui, la foule continue de marcher, cela signifie qu'on peut. Bien sûr, il ne raisonne pas comme ça, il sent comme ça. Ainsi, il n'a pas besoin des efforts héroïques à vaincre ses instincts, car l'instinct de conformisme l'aide. S'il commencerait à raisonner, à penser, il apprendra qu'il est trompé, que beaucoup des choses ne coïncident pas, que sa présence là-bas est absurde, mais il ne raisonne pas, ni pense. Et ainsi il permet de l'utiliser comme un pion, il ne sait pas, dans quels jeux douteux.

Comment un homme de la foule ne sent-il pas un danger, à la même manière il peut faire n'importe quel mal et n'en comprendre pas au total ce qu'il fait. S'il commence à douter, il est assez de jeter un coup d'oeil à l'entourage, et si les gens ne le jugent pas, mais au contraire, elles font le même, il se sent justifié par avance. Les instincts du mal qui sont cachés profondément dans la subconscience, maintenant ils s'échappent à l'extérieur avec toutes les suites possibles. La force du bétail populaire, c'est réel qu'elle est une grande force, mais la force sans raison, comme si aveugle, et certaines personnes démoniaques l'utilisent.

Alors, comment peut-on expliquer le susdit progrès qui est matériel et social à la fois? Je parlerais ne social pas, mais social-moral et ce serait plus exact, mais le sens du mot "moral" (russe "нравственность") pendant les derniers siècles son sens dévaluait et défigurait. Le sens de ce mot maintenant ne réfléchit-il pas ce qui est mis à l'origine, mais il réfléchit quelque chose puritain, une interdiction, quelque chose de l'humeur du bétail populaire. Au lieu de la pureté réelle en liberté, maintenant ce sens exprime la pureté imaginaire au joug, en résignation aux opinions de la foule stupide. Au refus de mot "moral", l'adjectif "social" appliqué au substantif "progrès", il doit embrasser plus largement les catégories proches positives, car c'est le progrès, duquel il s'agit, mais aucune dégradation. Je vous rappelle: nous venons de s'approcher de l'instant où il faut expliquer le paradoxe: devant l'emprise mondiale du bétail populaire, tout à coup l'humanité s'échappe de la stagnation médiévale et devient capable de progresser. Pourquoi donc passe-t-il comme ça?

Il est certain que dans n'importe quel pays, sans exception, le bétail populaire vit sans méditations profondes, selon certain patron fixé. Ce patron on nomme "les traditions". Il ne serait point une faute grave à supposer que ces traditions sont se former par hasard. Elles sont se former comme la suite de la composition fortuite des circonstances, qui sont vécues ou à travers lesquelles l'un ou l'autre peuple est passé. C'est la comparaison assez admissible: il a eu de la chance (ou il n'a pas eu de celles) à chaque peuple avec la situation géographique et les ressources territoriales, à la même façon on peut parler sur la chance (ou mal chance) avec les traditions qui se sont formées. Ainsi, chez les certaines nations il n'était pas blâmable à être insociable, se renfermer dans le cercle de la famille ou dans le cercle des amis qui a certains intérêts communs (n'importe quels intérêts). Cela a donné à certaines personnes une possibilité de se développer, et comme une suite naturelle, d'appliquer pour le bien du progrès son propre potentiel qui est développé sans freinage retenant de la société. Ceux-là pays où il avait lieu la tradition à transformer ses propres citoyens en esclaves, en contredisant aux doctrines de toutes les religions mondiales, c'est là-bas où s'est formée la tradition du collectivisme forcé et du contrôle total sur personne.Le destin de ces pays est à rester au moyen Âge jusqu'au temps du changement leurs traditions en direction de la liberté personnelle. Sans cela à eux n'aidera ni travaillent serviles des millions détenus, ni territoires énormes, ni l'abondance des minéraux, ni le vol des inventions, même dans les buts de la supériorité militaire. Les moeurs de l'individualisme, (voilà ce qu'est la morale réelle) elles sont dirigées à la liberté de personne, à la vérité, à l'amour vers prochain et tous les pays où les moeurs pareils dominent, ces pays résolvent les problèmes avec succès, qui semblent insolubles dans les siècles passés, ceux-là comme le problème de la discrimination nationale et raciale, le problème de la misère et de la sous-alimentation et enfin le problème de la morale puritaine qui défigurait le christianisme véritable pendant quelques siècles.

Dieu a donné à l'homme l'intellect non pour ce qu'il reste inactif. Un homme qui s'appui aux traditions et ne pense pas à l'aide de sa propre tête - c'est le même qu'un homme qui en avant ses propres pieds sains, mais va avec des béquilles. Jetez les béquilles et allez à l'aide de vos propres pieds! Si votre allure sera le même - c'est bien. Si votre allure changera après cela - c'est bien aussi. L'essentiel est ce que l'allure sera le vôtre. Si votre comportement continuera-t-il convenir aux traditions du milieu social - rien de terrible. S'il traversera ces limites - rien de terrible aussi. Vraiment au cas dernier il serait mieux de chercher un autre milieu qui traiterait vous avec plus de tolérance. Pour ce que vous pourriez d'être libres, il ne faudrait pas se soucier du progrès de l'humanité. Il faudra se soucier de votre propre progrès, le vôtre progrès personnel. En se réalisant comme une personne, déjà vous aidez à toute l'humanité pour elle deviendrait plus parfaite, et c'est assez. Il n'y a rien plus besoin de vous pour le bien universel. Si vous cessez d'être une part du bétail populaire, une "vis" du système - déjà vous pourrez être sûr que toute l'humanité vient d'avancer un peu vers la Lumière.

En intitulant cette oeuvre-là "le bétail populaire", je n'avais point en vue une caste ou un état. Quelqu'un qui est chargé de préjugés de caste ou de national ou de racial - il même est un représentant typique du bétail populaire qui peut se trouver un clochard, un savant ou un chef d'État - n'importe qui. Une personne libre peut se trouver n'importe qui aussi, et comme la pratique historique a fait voir - n'importe où, même dans tels États serviles et conformistes comme l'Union Soviétique, la Chine, la Corée du Nord. Pour sortir de la situation de bête il n'y a pas besoin de l'argent, il ne faut pas falsifier l'appartenance de l'ordre, il n'y a aucun besoin de changer sa religion (C'est pourquoi tous les Professeurs de l'humanité et les Prophètes desquels les religions différentes sont provenu, tous ils parlaient de la même Vérité. C'est le sujet long qui a besoin d'un livre isolé. Si Dieu permettrait, il sera écrit bientôt).

En effet, il ne peut personne vous retenir violemment en condition du bétail, à cause d'une seule raison, car personne peut lire vos pensées, sauf Dieu. Il n'y a rien de honteux ou irréparable que vous étiez un représentant du bétail populaire en passé. Tout le monde est passé à travers ça, car ils sont trouvés dans la société dès l'enfance. Il n'y a qu'une chose honteuse, c'est le manque volonté de sortir de cette situation. Votre personnalité ne dépend que d'un seul facteur: de votre propre choix. Et il n'y a besoin que d'une chose pour cesser d'être un part du bétail populaire - ce soit commencer à penser à l'aide de sa propre tête et d'abord vérifier sans fautes: une ou une autre pensée est-elle la vôtre ou de quelqu'un étranger l'a imposé à vous? Par la suite, quand vous vous habituerez à penser à l'aide de sa propre tête, alors, il ne serait plus ce besoin de la maîtrise de soi.

Alors, tout est dans vos mains: faire la vie intéressante et vive (l'expérience fait voir que la vie reste comme ça, même aux conditions sévères aussi) ou trainer l'existence misérable et absurde dans laquelle il y a une mal chance: devenir un pion en jeux sataniques étrangers.

L'instinct de conformisme qui tellement bien dépannait les troupeaux humains sauvages, c'est pourquoi il était très utile, maintenant au passage à la situation civilisée devient-il un poison empoisonnant la vie. Le même instinct n'est pas un mal, c'est comme un feu. Un feu peut éclairer, réchauffer, mais là-bas où il sort de sa place, par exemple, il se jette d'un four aux rideaux, ainsi il devient le mal sans doute. L'instinct de conformisme devient la racine du mal dans le monde civilisé. Et la même civilisation n'est point un mal. C'est l'humanité n'est pas prête pour aller selon la voie civilisée du développement. En posant le pied sur la voie, il faudra refuser de la mentalité de troupeau toute de suite.

Je vais achever cet essai avec une ma citation préférable. Herzen dans son livre "de l'autre berge" avait écrit: "ne cherche pas ordonnances dans ce livre. Il n'y a-t-il pas d'eux". Mais assez possible, bien imperceptiblement pour soi-même, il avait donné telle ordonnance:

"Si chaque fois que les gens voudraient sauver le monde, se sauvraient eux-même et au lieu de libérer l'humanité, se libéreraient eux-même. Combien d'entre-eux auraient-ils pu sauver le monde et libérer l'humainté!"

Pour se libérer, il ne suffisamment que seul votre désir.

F I N


Le texte russe originale 
Traduction en anglais
Traduction en allemand
Traduction en finlandais
Traduction en espagnol

Tuesday, January 28, 2014

Ekaterínichev, un investigador desde ICM.

                                   
                                              (ICM - Investigación criminal de Moscú)

Es un caso real desde mi vida de nuevo. La palabra "de nuevo" no refleja la situación suficiente correctamente que necesita en aclaración. Escribo "de nuevo", porque otro caso, a saber, el viaje en Aslanbék-Sherípovo ya fue descrito y publicado, pero el mismo evento, de cual voy a contar ahora, había tenido lugar en 1971, es decir, cinco años y medio antes ese mi viaje en las montañas de Chechen-Ingúsh. Ciertamente, entre aquellos que van a leer esta página hay muchos amantes de novelas policíacas. Es esto una tal novela o no es - juzguen ustedes mismos. Sólo voy a decir que esto es sobre la vida real y la vida es tal cosa que abarca todos los aspectos de la existencia, incluyendo esos que son criminales. No obstante, todo comenzaba desde unos eventos que estaban lejos suficiente de la novela policíaca. Todo comenzaba desde la historia de mi primer amor y, como sucede casi siempre, del amor sin respuesta, si dijera más precisamente, sin respuesta después, un amor que se había marchitado, sin florecer a tiempo. Si este amor fuera sin respuesta en absoluto desde el principio, poco probable que pudiera ser nombrado "el amor" y no necesitaría atención más que una mosca que voló por encima, ni un perro que ladró a lo lejos, sería olvidado hace tiempo y no sería digno entrar en las memorias.
Escribo "la historia de primer amor" para indicar la dirección de las fuentes de eventos, en el principio aproximadamente, porque lo esencial no es un amor, sino un error, porque el amor era imaginario. Él no era. Este error es muy difundido. Muy muchos caen en esta trampa, por lo tanto esta historia es muy instructiva. Muchos años después, cuando me he dado cuenta de quien me enamoraba, el sentimiento fuerte del alivio pasó, como es costumbre a decir, como pez en el agua. Y se era ¡"qué gracia"!, como si tomara por un diamante la falsificación barata. Ustedes mismos piensen: ¿Es que mal, si alguien cree que se ha comido un hongo fatal, pero después se descubre que ésta era una rúsula a secoas? No. Después de esto, la vida parecerá más hermosa y saturada y la tragedia se convertirá en algo ridículo. Otra cosa es mala. Es malo si alguien cree subjetivamente, equivocándose, como si la vida se ruinara, entonces él es capaz de hacer algo malo, ser peligroso para sí mismo, puede convertirse en una víctima del fraude, generalmente todo puede producirse, cualquier cosa. En el medio social desfavorable, por ejemplo, como Unión Soviética (si el estado contemporáneo que es nombrada Rusia, es mejor, sino sólo un poco) la probabilidad de alguna desgracia grande para un alma que está equivocada, aumenta bruscamente.
Ella llamaba (y naturalmente llama ahora) por el nombre difundido: Lena. No voy a descubrir su apellido. Era pelirroja clara, hay muchas pecas en la cara, ella me gustaba mucho, siendo precisamente tal. Vivíamos en una gran casa en Moscú en Zamoskvoreche que es más cerca, yo vivía en el cuarto con el balcón en la quinta planta, ella vivía en el cuarto con el balcón en la sexta planta. Todo esto había comenzado en 1967, hace cuatro años antes que tuviera que conocer este investigador nefasto, es decir, en la edad delicado suficiente, cuando tenía diecisiete años, ella tenía quince. Por supuesto, el instinto sexual se hizo sentir incluyendo antes, pero lo tomaba como algo secundario que no tiene gran importancia. Así miran los sueños brillantes que han soñado durante la noche, bien interesante, pero la vida diurna es más importante y merece más atención. Ella era la primera de aquellas que había despertado un macho dentro mí, aunque entre nosotros no se produjo nada después. No se produjo nada más debido a mi "culpa". Yo se desanimaba allí, donde tenía que mostrar actividad y no fuera correctamente suficiente para considerar esto como una consecuencia de la educación. Esto era una consecuencia de la introducción a error, del engaño. No era posible conocer la verdad sobre la realidad. En todas partes las mentiras e hipocresía estaban. Las más intimas personas mentían, porque frecuentemente ellas mismas eran las víctimas del engaño y más porque si describieran justamente la imagen de realidad, entonces tendrían que llamar las cosas por sus nombres, pero no se atreverían a decirlo en alta voz. Y a veces, esta mentira era reconocida, con las "bien intenciones" imaginarias, para conjurar algún peligro posible o un acto inocente, pero las consecuencias de cual pueden ser fatales.
       Después de la época de Stalin, la generación, siendo idiotizada, temía lo que tenía que temer y lo que ya no debían temer en el fin de los años sesenta. Será suficiente a dar un ejemplo. Desde la infancia, es decir, desde el fin de los cincuenta, me imponían como si tal acto, cómo dar un beso a una chica, fuera una ofensa grave para ella, y si ella no es una prostituta, sino una chica honrada, entonces como si ella debiera golpear en la cara con fuerza en respuesta a un beso. También tenía que oír las opiniones alternativas desde desde los tipos que fumaban y decían palabrotas en el baño de escuela, pero tales "profesores" de la vida más inspiraban desconfianza. La mentira y exageración eran patentes demasiado. Escuchando sus consejos, sin conocer todas las verdades de la vida, era posible ser acusado en la tentativa de violación sin culpa, y después de eso, tal "instructor de sexo" se burlaría de la víctima de circunstancia.
       Desde la altura del conocimiento de la realidad ahora, consistiendo de la experiencia de vida al presente, yo puedo afirmar sin duda, si fuera más decidido y más activo, entonces obtendría todo desde ella, pero mirando desde la misma altura de mi experiencia de vida, preferiría no obtener nada de ella, sino buscar otra chica que sería más análoga por su espíritu. Una de las grandes verdades que logré reconocer es lo que EL AMOR QUE ES SIN RESPUESTO, NO EXISTE. Si aman, pero sin reciprocidad, esto significa que todas las cualidades de esta persona son imaginados por ustedes mismos. Y si de repente logran las relaciones intimos, serán desilusionados necesariamente y ustedes mismos querrán separarse. Pero mientras que el objeto de la obsesión no es asequible, fantasean y soñan, atribuyendo a él o a ella unas cualidades que no existían nunca, ni existen ahora. Si se indignan porque ella presta atención a los otros, pero desestima usted, entonces por lado de usted no es el amor, sino la vanidad, y no hay ningún amor aquí. Sin embargo, si tiene un temperamento hermoso y romántico, pero ella o él no quiere notarlo, entonces vuelve sobre sí: es la ilusión. Cree que hay un hombre, pero no hay ninguno allí. Hay un ser miserable y sin corazón, una carroña. Cristo dijo precisamente sobre estas personas que son "sepulcros blanqueados" que "por dentro están llenos de huesos de muertos y de toda inmundicia" (Mateo 23:27). Es que una muñeca puede tener una forma bella y atractiva, pero no hay ningún alma dentro.
       Herzen escribía en uno de sus libros "teniendo treinta años el hombre muere y sólo su sombra continúa de vivir después". Por fin cumplí treinta años, pero no observaba ningún proceso del perecimiento dentro mí. Teniendo cuarenta años, no había cambiado, yo era lo mismo, incluso más experimentado, más fuerte en todos los sentidos. Teniendo cincuenta, soy sí mismo de nuevo. A pesar de todo Herzen no mentía. Aquí no es suficiente una pequeña cláusula: es el hombre de la sociedad que muere. Él todavía no muere, cuando encuentra empleo y comienza a permanecer estando durante ocho horas cada día no importa en cual oficina. Él muere cuando comienza a tomar seriamente todas las opiniones y juicios de la colectividad que está alrededor. Es que suficiente posible tener "normal" aspecto, decir las palabras "correctas", pero en el fondo de alma llamar las cosas por sus nombres, tomar por tontos aquellos que son tontos, e incluso esto sería graciosamente: se parece al espionaje romántico. Por desgracia, muy pocos descubren esta salida. La mayoría de la gente lo que no dijera y no hiciera en público, no lo dirá, ni lo hará, estando solo consigo mismo, incluso en un bosque perdido. El alma comienza a morir gradualmente. También los cambios fisiológicos y visibles son inevitables. Pero tal es la materia física que estos cambios no se producen a la vez. Ella todavía echa fuego por los ojos de una manera tentadora, su aspecto es animado y seductor, todas las facciones son regulares y si actuara en película, entonces sólo en un papel positivo. Sin embargo, unas semillas venenosas ya pudieran ser sembradas en el alma. Sólo dentro de diez o quince años será visible en ella ora una zaragatera estúpida y cansada del mundo, ora una cacamata infame que hace las intrigas en el lugar de trabajo, ora una mujer alcoholizada que apesta a las emanaciones alcohólicas. Ya no es todo: yo tendría que contar todas las versiones posibles durante mucho tiempo. Todos creen que la edad hace repulsivo un hombre. No. Un hombre se convierte en repulsivo, cuando todo lo hermoso que está en su alma, es sacrificado en altar de la sociedad.
       Estaba en el fin de marzo, en 1968, en un callejón no lejos desde el metro, estación "Dobryninskaya". Yo la observaba. Justamente ahora ella acaba de despedirse de sus amigas. Vengo detrás de ella y digo en voz de Fantomas:
      -¡Hola, Helen!
      -¡Boria, fuera!
      -He escrito todo en la carta. ¿Qué vas a decir en respuesta?
      -Preguntas, sí o no. Yo contesto que no.
      -¡Sin embargo, 14 de octubre todo fue de manera diferente! ¿Qué es cambiado?
      -Entonces todavía era una pequeña niña.
       ¡Hace cinco meses ella era pequeña! ¡Qué milagros! Me di cuenta con rapidez, también ella no daba importancia a esconderlo, desde quien provenía lo que destruyo nuestro amor. ¡Cómo yo odiaba a los padres de ella, entonces! Incluso habría gustado a matarles. Sólo ahora lo considero de otra manera. Bien sus padres, bien mis - todos ellos son unas personas infelices, a decir metafóricamene, un tranvía socialista pasó sobre sus cabezas. ¿Qué eran? Una familia de los peones que habían creído, no es sabido, por qué causa, como si ellos fueran por encima de una muesca de mí. No voy a esconderlo que caminaba por el techo, a veces, poniendo la careta de Fantomas que yo mismo había hecho de la cámara de bicicleta. ¿Y qué? No me comunicaba con los borrachos y gamberros locales. Yo tenía amigos serios que estaban desde los otros barrios de Moscú, pero esto más espantaba sus padres que atraía: esto no era a lo soviético para menospreciar la colectividad local. Por supuesto, sus padres no eran unos enemigos reales. Ellos no eran enemigos, sino unos tontos que merecían la piedad y compasión, y con respecto a estos que no me diera pena a matar, voy a contar más adelante.
       Muchos años después, cuando me di cuenta, debido a quién se moría así, reía mucho tiempo. Pero entonces mi mundo se derrumbaba. Encontré una salida de la situación parcialmente: apenas he cumplido dieciocho años, encontré otro trabajo, también geodésico, pero con los viajes lejanos, para distraerse, cambiar el ambiente, mirar el mundo, decir más exactamente, la parte del mundo dentro los límites de la Unión Soviética, pero lo esencial, para intentar de comprender y aprender esta sociedad soviética que es irracional, deforme e hipócrita.
       Si describiera el proceso del estudio de la ciencia ideológica en la práctica, eso sería un tema de un libro separado. Lo que sorprendía a la mayoría, esto era el idiotismo de las masas populares. Esto era expresado tanto claro que era difícil de creer en lo que yo veía. Las dudas inquietaban: ¿"Y de repente no comprendí algo? ¿Y de repente hay un sentido disimulado en todo esto"? Quería o no, pero tenía que inferir que todo esto es el idiotismo ordinario y no hay ningún sentido disimulado. Cuarenta años después puedo declarar lo mismo con la diferencia única que digo sin sombra de duda. Sin embargo, en esa época, durante la tentativa de indicar a las disconformidades y disparidades en sus orientaciones de vida que fueran accesibles a comprender incluso para los tontos, podía oír tales argumentos: "todavía eres joven, no sabes la vida", o "es hombre pesado, no hay sentido de discutir contigo, viva tanto, cuanto yo he vivido..." Y ahora tiene gran deseo de encontrarse con tales opositores y replicar: "ahora he vivido cuanto ti, y hay una bagatela que gané este debate. ¡Lo esencial es que gané esta vida! No permití a ellos de hacer conmigo lo que habían hecho contigo. Empieza a pensar con propia cabeza, ojalá ahora. No digas más: "soy un coljosiano y es inútil cargarme por tu filosofía". No son laberintos filosóficos que descubro para ti, tienes que sólo comprender unas cosas elementales..." Pero no hay nada a quien yo pudiera replicar, porque poco probable que alguien de aquellos opositores llegaran 90-100 años. Lo que esta gente era achacosa y rudimental era visible claro y tenía que aceptar este hecho, a pesar de todas las dudas, no es posible negar un hecho. Ello explicaba mucho. Pero una pregunta aparecía que era más difícil: ¿Por qué ellos son tales? ¿Por qué ellos quieren ser tales? ¿Qué han hecho con ellos?
       Por supuesto, oía sobre las represiones de Stalin, pero yo no  les imaginaba nada de eso que eran de hecho. Bajo Khrushchev, todavía podía ser escrito en periódicos sobre la escala de represiones, pero estando en edad de 10-14 años yo no creía que pudiera encontrar algo interesante para mí en estos discursos largos de Jrushchev. Y después de la llegada al poder de Brezhnev, incluso si Jrushchev o Stalin eran mencionados en periódicos, entonces cómo exclusiones raros. Creía que la lucha por el poder tuviera lugar y que los adversarios políticos se comieran unos a otros, aniquilando unos a otros y que pudiera ser que alguien fuera encarcelado, porque dijo algo superfluo, pero lo que de hecho había un genocidio y la cantidad de las víctimas de cual supero la cantidad de las víctimas de los invasores hitlerianos, si yo oyera esto desde un particular, poco probable que creyera. Sin embargo, no hay nadie, de quien yo pudiera oírlo. La gente continuaba de callar, de mentir, a pesar de eso que ya hace mucho Stalin no existía más. La gente que ha caído bajo el yugo totalitario del poder soviético, ellos han cesado ser humanos. En esa época, estando en los viajes de trabajo, primeramente en Chechen-Ingúsh, luego en los pueblos y estepas de la región de Stavropol en los pantanos de las regiones de Tver y de Smolensk, por las tardes yo había suficiente del tiempo para meditar. A veces, los colegas lograban a emborracharme, no obstante, sin continuarlo, como regla, y si la brigada empezaba la borrachera, entonces, yo emborrachándome una vez, encontraba el pasatiempo más interesante después, principalmente la lectura de todo que podía interesarme. En vista de que muchas cosas me interesaban, los aspectos muy diferentes de la vida y de ciencia, encontraba siempre algo interesante para mí. Ahora podía tomar las eventos moscovitas que concernían a mi amor sin respuesta, al parecer, de lado, y en este caso premeditar mejor, hacer la revaluación, gracias a Dios, no distraía nadie a mí, ni molestaba.
       Con bastante rapidez llegué a la conclusión que no tenía que resignarme a esto, ni dejarlo así. Ciertamente, no puede ser amado por fuerza, sin embargo, había habido un período, cuando yo había sido amado sin fuerza. Lo que ella había dicho, como si cinco meses atrás fuera pequeña, pero ahora se convirtiera en más "razonable" y más "adulta", esta tontería había descubierto lo que tenía lugar de hecho. Yo sabía claro que precisamente su madre tenía el voto decisivo en la familia. Relativamente frecuentemente en esa época una película soviética y anciana "Las mujeres" era mostrado. Esta película reflecta bien, a cual marasmo la gente fue llevada en la Unión Soviética. Incluso el KGB no pensaba para prohibir esta película. En el oeste a pesar de todo era conocido ya hace mucho sobre la ñoñez y decadencia de la gente soviética y la misma gente ñoñez y decadencia no era capaz de ver en esta película más que un chisme de vida ordinario que ellos oían y miraban siempre con alegría, sólo con que matar el tiempo. Si hay alguien inteligente y experto, él callará no sólo por temor de represiones, sino debido a la razón por la que fuera inútil de explicar algo a esta gente, esto fuera lo mismo cómo enseñar las matemáticas superiores para un perro y con respecto a aquellos que  eran inteligentes, sin embargo, apasionado e imprudente, el aparato represivo era bien elaborado.
       Hay una escena en esta película, como una madre corre a través del campo, aunque ahogándose, pero continúa de correr a todo pulmón a propósito, según parece a ella, para arreglar, pero de hecho, para envenenar la vida a su hija, para separar su hija de aquel que se ha encontrado a contrapelo, conforme a alguna razón símica de la madre. Ella llega a tiempo. Los jóvenes todavía no desatracan desde desembarcadero en ferry. La hija toma el partido de su madre. Viendo que es una familia de tontos, el chico rompe las relaciones con la hija. Yo debería hacer lo mismo.
       Pero pensaba diferentemente en absoluto. "¡Yo salvaré a ella! ¡Salvaré nuestro amor!¡Yo la extraeré de este pantano! ¡Abriré sus ojos y ella me seguirá, renunciara del mundo aburrido y estúpido para siempre! ¡Los canallas! ¡La gente sucia de la calle! ¡Quieren envenenar la vida a su hija! Ya si ella siguiera sus consejos, ella se casará con alguno que no es amado, sino es estimado entre esta sociedad podrida. Y sufrirá toda la vida, o quedará soltera". De hecho, alrededor habían muchos matrimonios infelices, y un mi pronóstico se realizó: ella quedó soltera de hecho. Cuando me he cumplido los cincuenta, hice averiguaciones. Durante toda su vida ella dio a luz sólo una hija, que ya ha cumplido los dieciséis años, pero no se casó.
       Dio la casualidad de que ambos cambiamos el domicilio, pero me enteré de sus señas pronto. Empecé a escribir las cartas a sus padres. La primera carta fue escrita en el tono pacífico, para que sea sin duda. Ella era súper largo, más de veinte páginas. Esta carta certificada fue dirigida a su madre, y en estas páginas expresé exacto y consecutivamente todas mis razones en cuanto al fondo. Ciertamente, no había ninguna reacción de respuesta. Entonces empecé a escribir a los ambos padres todo que yo pensaba de ellos, y regresando de las misiones a llamar a ellos. La madre colgaba el auricular y el padre, en respuesta a mis primeras llamadas telefónicas, describía colorido, como él me golpearía junto con los hombres locales, y durante las llamadas posteriores su discurso comenzaba desde las palabras: "tú, hocico judío". Yo explicaba a este tonto que primero, no soy un hebreo, sino en segundo lugar no soy un antisemita, por ello sus desbarradas marran y no pueden ser unas ofensas para mí. Sin embargo, él seguía aferrarse a su opinión, como si yo fuera del pueblo de Israel. Repito literalmente una de sus bobadas: "tú tienes algún tufo arábigo-semítico-judío".
      Es bien sabido que la palabra "judío" ("жид" en ruso) los antisemitas usan si quieren injuriar las personas del origen hebreo, pero en las últimas décadas, especialmente en el último tiempo esta palabra comienza a expresar un poco otro matiz del significado. Pueden apodaros así, independientemente de vuestro grupo étnico, por ejemplo, en el caso si vuestro nivel intelectual, vuestra erudición está un poco más arriba que la muchedumbre. Ser inteligente en Rusia es "zapadló", es decir, una cosa reprensible. Esto es el país único, donde puede ser nombrado "inteligente" con una entonación malvada e imprecatoria. También puede ser nombrado "judío" si toma la parte de la libertad, de la democracia y de los valores europeos. Había un caso, donde era nombrado "judío" y no tengo que callar de esto, si ya he empezado a contar. En septiembre de 2001 iba en autobús en una ciudad de los alrededores de Moscú. En el mismo autobús iban un hombre con mujer, ambos tenían un poco más de cuarenta. Ellos se alegraban del ataque terrorista que había tenido lugar en Nueva York en estos días. Y cuando dije sólo: ¡No te da vergüenza! En respuesta oí: "¡judío, hebreo!" Si esto fuera verdad, estaría muy bien y muy probable que yo ya estaría en Israel. Según mis observaciones, en Rusia cerca de diez por ciento de la gente se alegraban de este atentado terrorista y monstruoso. Por lo tanto, tengo más razones a sospechar Rusia en la complicidad directa o indirecta en este acto de terrorismo que el investigador Ekaterínichev tenía, cuando él dijo, como si me sospechara en Dios sabe lo que. Está sólo mi propia sospecha que intercambio con los lectores. Soy tal cómo soy, es decir, inclinado a sospechar. Al menos, precisamente la Unión Soviética introdujo la inestabilidad en Afganistán, Irán e Irak. Un país intentaba sin éxito de seguir los comunistas, otros dos vinieron al camino del obscurantismo religioso, usando una de las religiones justas, cómo un pretexto y justificación. Sin embargo, cómo los franceses dicen: "revenons a nos moutons" que significa literalmente: "regresamos hacia nuestros carneros".
       Varias veces yo acechaba Lena temprano por la mañana, cuando ella iba al trabajo. Su reacción a mis despropósitos era doble. Aunque decía, cómo mucho yo he aburrido a ella, pero no era posible ignorar que tal gran atención desde mi lado adulaba a su amor propio. Mi propósito principal era a invitarla en mi casa. Ahora no perdería una ocasión, pero la obtendría sin duda, sin violar el Código penal, actuando activamente, no obstante, sin rebosar los límites de la ley. Mis intenciones eran serias suficiente. Quería crear una gran familia unida con gran cantidad de los niños. Veía como la gente vive en el Cáucaso. Pero aquí el alcoholismo, los divorcios estaban, niños eran abandonados e incluyendo lo que me ensañaba en más grado, era el odio recíproco sin razón entre la gente y las riñas, cómo entre perros. Aquí mis propias palabras que escribí en una carta a sus padres: "... su sociedad, donde vosotros, cómo los insectos insaciables, competís, de quién mordedura es más fuerte".
       Se asombren, si saben que en esa época todavía no era un antisovietista. Quizás, fue un período de la más gran lealtad desde mi lado. Como ya saben, no tenía ninguna idea sobre las represiones de Stalin, pero también yo estaba seguro equivocadamente que la misma porquería, como en la Unión Soviética, tiene lugar en todo el mundo restante, y cómo un proverbio ruso dice: cada coalla elogia su pantano.
       Aunque las cartas desde las misiones del trabajo, eran escritas en el tono brusco, sin embargo, no violaba la Codigo penal, les escribiendo. No había ninguna amenaza directa, ni injurias con palabrotas. Yo expresaba más mi conocimiento, entrando en detalles, por ejemplo, de su vida cotidiana, de la planificación de su apartamento. También mostraba mi capacidad de la vigilancia exterior y de la clarificación de los domicilios de residencia. Incluso esto me divertía. Es posible, era el instinto de la caza. Si existiera la máquina del tiempo, llegara hacia yo mismo cuando tenía los veinte años y dijera: "Que sería mejor dejarla. Ella no es lo que crees en absoluto. No tendrás éxito de corregirla nunca. Busca alguna otra que de hecho tiene las perfecciones que tú atribuyes a ella. En el mejor de los casos pierdes el tiempo en vano. Incluso si os liarais, ti mismo desilusionarás por ella".
       Todo el invierno desde 1970 a 1971 pasó en las misiones, es decir, en los viajes del trabajo, y en la primavera, ahorrando dinero un poco, dejé el trabajo. Y aquí, por fin, 28 de abril por la mañana surgí de nuevo cerca del edificio de 9 plantas, donde ella vivía en distrito Kúntsevo, e incluso no me escondía especialmente, aunque en vano. Conmigo tenía los dos estuches para la cinta de foto que eran llenados por la pimienta, para echarlo en ojos y huir, por si acaso, también el cuchillo "pez". Había tal cuchillo en la época soviética con el mango azul de plástico que cuando el cuchillo era puesto, representaba un pez. Podía separar el "pez" en dos partes, entonces en una mano un cuchillo estaba con el rabo de "pez" y en otra mano un tenedor estaba con la "cabeza". Sin embargo, los filos no eran grandes, siendo hecho de metal, era claro que de mala calidad, y si pusiera en marcha tal "arma", fuera posible sólo a hacer rabiar el enemigo, pero no fuera posible estropearlo. Ahora conozco sin duda que, siendo armado sólo un bolígrafo ordinario, es posible hacer daño más grave que por este "cuchillo", pero en esa época creía, equivocándome, como si tuviera lugar una agresión, entonces este "cuchillo" ayudaría a mí esencialmente, por lo tanto, gracias a Dios que no tenía que aplicarlo nunca. ¿"Qué pueden ellos hacerme"? - yo razonaba. "No hago el gamberro, ni robo. Ciertamente, pueden romper la jeta o calumniar, pero ahora sería un problema a convocar un grupo de los hombres locales: era una mañana del día laboral, y todo el mundo se apresuraba al trabajo. Si la policía me detiene, tendrían que dejarme ir, porque no hay ningún delito si quiero encontrarme con una chica, aunque sus padres tienen algo en contra nuestras relaciones - es una historia ordinaria desde la vida. Si empiezan a pelear - echaré la pimienta en ojos y huiré". De ella misma no esperaba ningún escándalo en la calle y es posible que eso es cierto. Durante las visitas semejantes a las veces pasadas, aunque ella no demonstraba ningún entusiasmo, sin embargo, ninguna protesta enfurecida no tenía lugar, ni ella no iba a recurrir a la muchedumbre ni a policía para que ayuden a ella contra mí. Por mi parte, había decidido actuar muy gradualmente, como el agua afila una piedra, aunque los años serían gastados para esto, pero para obtener lo suyo que quería.
       Era claro que yo no tenía suerte en este día. Al principio una ascensorista exigió en tono brusco a mostrar el pasaporte a ella. Reprimí la indignación justa y mostré el pasaporte a ella, preguntando: ¿"Como cree, si voy a entrevistarme con una chica, a hablar pacíficamente con ella, sin embargo, sus padres tienen algo contra esto, es un delito"? Ella asintió, demostrando la comprensión y devolvió el pasaporte. Media hora más tarde el padre de "Helen" salió a la calle, durante varios segundos, estando de pie cincuenta metros de mí, miraba con rabia a mí, pero no se acercó. Decidí esperar una hora más, si ella no sale de la casa, entonces enferma, ni trabaja.
       Veinte minutos después vio dos policías iban a escondidas al lugar, donde el padre de ella había estado de pie hace poco, no obstante, ya cambié la localidad y viendo ellos, entré en el portal por instinto. Sin embargo, muy en breve pensé que por lo visto, el día es gastado en vano y que detengan: a pesar de todo, no tienen nada contra mí, sino a la vez sabría cuál pretensión pueden tener los padres de Lena contra mí. Creo que no seré encarcelado por el "tufo arábigo-semítico-judío". Salí del portal y los policías propusieron a mí a montar en la motocicleta y yo acepté la proposición con alegría, sentándome a su motocicleta de tres ruedas, con sonreír.
       Acerca de hora y media después de la detención me llamaban a "tocar el piano", es decir, a tomar mis huellas digitales, motivando que "tienen que verificar algo". Al poco tiempo el jefe de esta policía me convocó en su despacho. La comisaría de policía estaba en la calle Molodogvardeyskaya de Moscú. Él empezó a hacer las preguntas directas sobre mi vida íntima. Recuerdo que digo, riendo:
      -Hay algún interés anormal con usted, en el sentido de mi vida sexual. ¿Es que tiene unas fotos que me comprometan? Me gustaría a mirarles.
       A cambio él sonreía con malevolencia y miraba a mí. Cierto dicen en ruso, un carnero mira de esta manera a la puerta nueva.
       Muy en breve fui llamado de nuevo, esta vez en un despacho de investigación. En una silla separada un hombre que tenía cerca de treinta y cinco y se distinguía, es difícil de decir porque, es posible que fuera debido a su mirada que no era malvada, sino penetrante y, si no me equivoco, es que los cuarenta años pasaron, era vestido del traje negro. También no lo sé porque, sin embargo, sentía que él trabajaba no en esta comisaría. Los demás, había dos o tres de ellos, eran vestidos de paisano, ora de algo gris claro, ora de algo azul. Sus miradas no eran penetrantes, sino despreciativos y burlescos. Sentí que ellos habían leído mis cartas que había mandado a los padres de ella, y eran al corriente de mi posición de vida de mis puntos de vista.
      -Está mal que el cuchillo fue encontrado contigo. ¿Es que querías matar esta chica?
      -Es vosotros que tenéis que demostrar vuestra invención, sino yo no tengo que. Leísteis mis cartas. ¿Me odiáis debido a mi punto de vista? ¿Queréis colgar a mí un delito de otro? Sin embargo, no tendréis éxito. Ahora no es la misma época.
      -¿Pero quién necesita para odiarte? No eres una cuerda, también los delitos no son una lencería para colgarlo a ti ¿lo entiendes?
      -En este caso ¿por qué estoy aquí hace tiempo? Ya es que tres horas pasaron.
      -Tenemos que llevarte en alguna parte, para hacer radiografía a ti. A verificar.
      -Estoy interesado, - aquel que estaba en la silla, dijo por fin, - ¿Cuándo estuviste en la última vez en los alrededores de Varshavskoye shossé, más allá de la Bifurcación?
      -En Varshavskoye shossé no tengo amigos, ni conocidos, nada interesante. Sin embargo, aquí en Kuntsevo venía antes y vendré de nuevo. Esto es lo íntimo. ¿O es esto un delito según vosotros?
      -Turbas la gente. Escribes las cartas malas.
      -En este caso ¿qué artículo del Codigo penal violo, escribiendo estas cartas?
       Sonriendo con burla, ellos me dijeron a salir y esperar en el pasillo. Sentía algún mal que emanaba desde esta gente, pero el mal que no era brutal en este caso, pero como si lo fuera vestido de los guantes blancos. Muy en breve me llamaron de nuevo.
      -Aquí es la queja de la ascensorista, tú la has regañado con palabrotas - es gamberrismo pequeño. Ahora vamos a ir al juez. Por eso se debe hacer desde diez a quince días de detención.
       Por supuesto, me abstuve de tales estupideces cómo gritar, maldecir, patear de cólera o agitar con los puños. No obstante, la explosión de indignación era mostrada en mi cara. Ellos estaban de pie, siendo contentos, sonriendo con malevolencia. Ahora, viviendo sesenta años, poco probable que yo estuviera asombrado en una situación semejante, porque sé que es posible esperar cualquier vileza desde los invasores comunistas y enemigos, desde los canallas. De por sí, era una vileza pequeña. A pesar de todo era una cosa enojosa e injusta a ser detenido incluso por varios días, ya hizo varios meses no había estado a la casa, todo el tiempo estaba en los viajes de trabajo.
       Naturalmente, vine al juez, siendo acompañado por estos tipos. Uno de ellos, como reconozco después, era un investigador de la policía local Bujvalov. Y aquel que estaba en la silla y delante, del traje negro y con la mirada penetrante, era sí mismo investigador desde ICM Ekaterínichev. Los apellidos son reales, sin cambiar. ¿Por qué yo hiciera los gestos nobles y encubrirles? Escribo todo, cómo era.
       La jueza estaba en el otro edificio, no lejos, cinco minutos a caminar. A veces, la intuición puede contarnos muchas cosas. Ésta era una mujer de edad mediana, parece, fue agotada, debido a la vida soviética, no se semejaba a una funcionaria canalla de ninguna manera, incluso es posible que ella fuera concienzuda. Hay tal categoría de la gente forzada que no quieren, sino tienen que hacer las bajezas por un salario miserable, para alimentar su familia, y tienen miedo de buscar otro trabajo. Incluso, ella me dio pena. Conté en breve, como el caso había sido, complementé que yo mismo no había estado borracho y no era tan estúpido, para que me entregue a la provocación y diga palabrotas, donde, era posible ya los padres de esta chica me habían esperado y estaban dispuestos muy negativamente contra mí. La jueza oía, reflexionando y bajando la vista, después se expresó con dificultad:
      -Diez días de detención.
       Se dio cuenta que yo no era culpable, sino ¿qué había podido hacer? Si declarara que no era culpable, ella sería tomada por una loca, y si no lo hicieran de golpe, entonces gradualmente darían humazo a ella fuera de este trabajo. Ella había hecho todo que podía: aunque impuso la detención, pero lo mínimo.
       Después de eso no permanecía en la comisaría largo. Después de media hora ya estaba en el asiento trasero de "Volga" entre dos policías, junto al chófer el investigador Ekaterínichev estaba. El coche viró en dirección del centro de Moscú. Íbamos mucho tiempo, ya las horas punto de tarde comenzaban. El investigador no se callaba en el coche. Desde su hablar, sabré que en alguna parte sur de Moscú una niña que tenía cerca de trece años, había sido violada y matada con cuchillo en el invierno. Y Ekaterínichev no podía coger el delincuente de ninguna manera y ahora andaba en busca de uno quien fuera posible acusar, y no importa, si fuera culpable defacto. No me ocurrió nada, incluso la menos sensación del miedo. No sólo porque yo no lo había hecho, sino porque había estado ausente en Moscú durante todo el invierno, llegando a la casa sólo por las fiestas grandes. No era posible ir a Moscú de tal manera, para que ni compañeros de trabajo, ni los habitantes de la aldea, donde habíamos trabajado, no notaran nada.
      -¿Así que usted sospecha, como si yo cometiera un asesinato con violación de una niña menor en Moscú, en los alrededores de Varshavskoye shossé?
      -No, en absoluto. No obstante, te portas de manera extraña y tengo que verificar algo. Acabas de llegar, teniendo el cuchillo en bolsillo, hacia la chica que no quiere verse.
      -Incluso voy en la panadería para comprar el pan, teniendo este cuchillo conmigo; es mi costumbre después del viaje por trabajo en el Cáucaso. Este cuchillo es vendido en todas las tiendas entre los artículos turísticos y deportivos, por ello no puede acusarme, incluso en la lleva del arma blanca. Y sus padres dispusieron esa chica contra mí, es lo que intentaba de arreglar. Es que leyó mis cartas.
      -Puede encarcelarte sólo por tales cartas.
      -En tal caso, diga, por favor ¿cuáles palabras en estas cartas son una violación de la ley y qué artículo del Código penal lo preve?
      -¿Sin embargo, por qué estudiabas el Código penal? ¿Es que crees, como si fuera posible engañar la justicia?
      -Vuestros colaboradores ya han engañado la justicia. Yo no decía ninguna palabrota, pero ellos me han dado diez días de la detención. Más la captura ilegal tuvo lugar. ¿Es que parecía a una persona sospechosa? ¿O es que sus padres se quejaron? No obstante, es que ve claramente que no hay nada que pudiera inculparme, esto significa que tenías que liberarme durante tres horas. Y usted personalmente pierde el tiempo conmigo en vano. Si yo fuera en vuestro lugar, la cosa primera que haría, verificaría la coartada.
      -Sin embargo, no nos enseñes de trabajar.
      -Bueno. Que todo sea según usted. Maté, arranqué sus ojos, cuarteé el cadáver, enterré y escribí en la piedra. Sin embargo, dudo mucho que reciba el premio sólo por vuestra opinión.
       -Ja ja ja. ¡Cómo acabas de decir interesante! Mataste, cuarteaste, enterraste... Cómo me di cuenta, el investigador no estaba en contra de bromear y reír junto mí. ¿Es posible que él esperaba que me apasione por las bromas hasta tal punto, para que descubriera algunos materiales comprometedores contra sí mismo, incluso si fueran tales cosas? Aparentemente, él tenía que habérselas con los idiotas frecuentemente y esto es un argumento más a favor del idiotismo de las masas populares.
       Y ya el coche rodaba a lo largo de la calle Petrovka. Los policías, entre cuales estaba, estaban contentos, aparentemente esta conversación les divertía.
      -¿Parece que acabamos de llegar a la Petrovka 38?
      -No se preocupe. Van a hacerte la radiografía y  llevarte atrás. (Se concentraron en la radiografía. ¿Es posible que no sean capaces de inventar más variedad?)
      -¿De lo cual sacan como si yo quisiera ir atrás? Tengo que permanecer durante diez días a pesar de todo. Creo que en Petrovka sería más interesante.
      -Aquí tienes mucho del tiempo libre, para pensar, recordar y después contarme la verdad, donde y cuando te condujiste indecentemente, la gente te persiguió, te vieron, tenemos muchas quejas contra ti y se sería mejor, si ti mismo confiesas en todo francamente. Tenemos y una especie de los delitos, y otra, por ello, recuérdate de ellos.
       Sí, hay trampa tan tonta en tal organización que se parece como si fuera respetable.
       En la celda de tres lugares, a donde yo fui conducido, había un ladrón que tenía cerca de cuarenta años, inofensivo, como parecía. Durante veinte años él permanecía en las cárceles y campos. No se parecía que sacó ventaja de esta "profesión". Dije en breve, como pasó.
      -¡Tonto! ¿Por qué sonríes? - se indignó con la compasión. -¡Es que ellos te cosen un hecho mojado! ¿Entiendes? ¡El asesinato!
      -Todo ésta es una bagatela. Tengo la cuartada. Yo estaba en el viaje de trabajo.
      -Unos estaban aquí. También decían sobre la cuartada. Pero después, muchos artículos del Código penal fueron encontrados y vi como ellos fueron llevados a la tumba, es decir, a serrar la madera durante quince años. ¿Crees, puedes engañar la ICM? Bueno, trata de hacerlo si tan inteligente eres.
       Ahora, treinta y nueve años después y mirando atrás, estoy contento, como hablaban con el investigador. Hay una pregunta que olvidé de hacer a él: los parientes de esa niña que fue matada en el invierno de 1970 a 1971, como ellos reaccionarían si oyeran cuales eran tonterías que él me hablaba, si vieran este "cuchillo", con cual los policías la critiquizaban así, supieran de todas las cosas en conjunto, lo que hacía este investigador en vez de buscar el delincuente real, y si ellos no son estúpidos ¿qué opinión se formarían con ellos sobre la ICM, sobre la Unión Soviética y sobre él mismo Ekaterínichev? Me gustaría que ellos lean esto ahora. Esta información enfriaría un poco el ardor de su nostalgia de la Unión Soviética, si tal cosa está.
       Por la noche, a través de un sueño oí como en la celda un hombre más fue llevado y quien, recordando todas las palabrotas, se indignaba que había sido detenido en la ICM por gamberrismo (???). No lo sé porqué él estaba en la ICM. Posteriormente, en el tiempo diferente yo preguntaba a las personas diferentes que había sido encarcelado antes, si posible que el dispositivo de escuchas está en las celdas, especialmente en las prisiones como la ICM, donde la investigación es llevada. Todos, como uno, lo denegaban, argumentando así: "En este caso ellos (es decir, los investigadores) hablarían en otra manera en absoluto. No obstante, están muchos bramones allí".
       A distinción del ladrón, este tipo era desagradable bastante, y si estábamos en una prisión ordinaria, como Butyrka o de Sailor Silencio, muy probable que tarde o temprano nos peleemos. Aquí en Petrovka las peleas entre los presos no practicaban.   Hice un experimento: me espontaneé en la celda, como si una vez en la estación ferroviario Kazansky vendiera varias botellas del vodka, vendiera caro porque ello estuviera por la noche. Al día siguiente oí de Ekaterínichev:
      -Dices como si fueras limpio delante de la ley, pero tú especulabas con el vodka en la estación.
       Desde la celda al investigador nos llevaban a través del patio en otro pabellón con las esposas detrás de la espalda. En el despacho del investigador quitaban las esposas.
      -Por favor, reloj de pulsera ponga, - un policía bromeaba, esposando nosotros.
       En primera vez fue llamado hacia el investigador al día siguiente después de la detención, por la mañana.       -¿Cómo estás, cómo nuestra alimentación?
      -¡Vale! Al menos para la prisión.
      -¿Te recordaste nada?
      -Ya ayer dije a usted, no tengo ningún para que me recuerde, decir más exactamente, hay muchos recuerdos interesantes, pero no son interesantes para usted.
      -¿Te acuerdas de cómo hiciste el gamberro, la gente te persiguió, gritó: ¡alto! ¡alto! Sin embargo, tomaste el tren de cercanías y dejaste tan pronto que sólo el viento silbó atrás de ti.
      -Tiene la gran imaginación.
      -Ven aquí. Es el mapa de Moscú. El Varshavskoye shossé está.
      -Sí. Aquí. ¿Y qué?
      -¡Aquí, te he cogido! - él dijo, riendo y amenazando por el dedo índice. -Es que sabes. ¡Sabes este distrito!
      -¿Es que el Código penal prohíbe a saber, donde está una de las calles principales de Moscú? ¿Es un delito? ¿Qué artículo fue violado?
      -No te preocupes, tu artículo no se irá a ninguna parte. Tienes un mejor irse en la celda y acordarte, acordarte.
       Cuando entré, los compañeros de la celda ya se comportaban de otra manera. Empezaron a bromear:
      -¿Sabes, por qué te llevaron acá? Para deshonrar la ICM. No saben encontrar a alguien, por ello cogen todo el mundo. Es que pensamos: el asesinato, la violación, cómo estimarlo. La gente cae acá por los delitos serios, pero tú tienes un problema sólo con tu Lena. ¡Es la anécdota ridícula y nada otro!
       Los presos tienen una experiencia de la vida, aunque es peculiar. También no pierden la intuición. Ya el segundo día comprendieron que no soy culpable en nada. No obstante, ¿es que el investigador no lo comprendió? No creeré nunca en esto. Incluso un hombre estúpido, pero cumpliendo el mismo trabajo durante varios años, adquiere alguna práctica. Sin embargo ¿cómo éstos, es decir, los detenidos adivinaron que yo era inocente? Eso ocurrió en el momento del regreso desde mi primer interrogatorio. Estaba en la luna, sin ver algún peligro en lo que ocurría. ¿De donde podría saber, teniendo mis veinte años, en este país, donde las más íntimas personas mentían y fingían que al poco tiempo, varias personas serán fusiladas por los delitos de maníaco Chikatilo, y después alguien será fusilado por los delitos de maníaco Mijasevich? El stalinismo no ha muerto. Él continuaba de marchar sobre el planeta y continúa de marchar hasta ahora. Ya él no es tan sensible, no es tan destacado, mucho más débil, pero las almas inestimables y humanas, aunque muchos menos, sino continúan de perecer bajo las botas de la bestia soviética.
       Estaba en la luna y consideraba cómo es "guay" y "súper", estoy en la misma Petrovka 38, me llevan hacia el investigador para interrogatorio, esposándo. ¡Es que la excursión más interesante! Y al mismo tiempo no amenaza nada serio. Más el investigador me divirtió durante el interrogatorio. Y los compañeros de la celda, mirando a mí, habían comprendido todo: un tipo que ha matado y violado una menor y está por eso en la casa-cárcel de la ICM, no regresaría desde el interrogatorio de investigador con la sonrisa en la cara.
       En cuanto a las torturas, no lo sé cómo anda ahora, pero en 1971 hacía ya mucho tiempo que no se había estado. Decían, ellas habían sido practicado en grado completo en los años treinta y cuarenta. Un ex preso en la ciudad Ístra (70 km desde Moscú) que trabajaba temporalmente con nosotros, él había permanecido más de veinte años en las cárceles y campos, contaba, cuando todavía Stalin y Beriya habían vivido al principio de los años cincuenta, una vez él había sido llevado en la ICM y había visto cómo torturaban, entonces se había desmayado debido al horror. Los compañeros contaban como si en la ICM hubiera un sótano con condiciones insalubres y terribles y como si llevaran allí si tienen que vencer psicológicamente a alguien. Sin embargo, aquellos que lo contaban, no estaban seguros en eso, porque es sólo una suposición. Personalmente creo, si los planes del poder no contenían la intención de ensuciar la ICM por los actos semejantes, entonces más probable no había ningún tal sótano y si ellos necesitaban de torturar a alguien, poco probable que hubiera un problema a encontrar un lugar más conveniente.
       En los interrogatorios siguientes Ecaterínichev empezó a importunarme acerca del comercio del vodka que aumentaba mi sospecha que el segundo compañero de la celda que había sido llevado esa vez por la noche, era un bramón (es decir, un informante). Por fin dije al investigador:
      -Supongamos como si en alguna parte, una vez vendiera ilegalmente varias botellas del vodka de hecho. Ahora piensa, qué es más fácilmente a hacer: ¿descubrir diez asesinatos o demostrar el hecho de este negocio pequeño con el vodka? Si lo hubiera a gran escala, entonces ¿por qué tengo la cantidad de dinero es tal módica que tengo en mi libreta de ahorros? (En el momento de la detención, había tenido la libreta de ahorros conmigo, todavía no he depositado el dinero, incluso lo que había acumulado para descansar en el verano, trabajando en el invierno, y yo tenía este dinero en la casa.)
      -Sí, la importe es módica realmente.
       Después de este diálogo, Ekaterínichev no empezaba más a hablar de la especulación del vodka. Parecía, él buscaba cualquier posibilidad que diera un pretexto legal, para prolongar mi detención. Todavía, este investigador no era un tonto. Si piensa que su propósito era para que llegue a la verdad, descubra honradamente el delito, entonces él se habría comportado cómo un tonto de hecho. Sin embargo, eso era un método astuto. Si no tenía nunca una relación con la policía, esto no significa en absoluto como si este método no fuera usado contra usted. También los empleados de oficinas de viviendas usan este método, cuando vienen a reparar las griferías; también los maestros a quienes recurren para la reparación cualquier cosa que se ha estropeado; los funcionarios, cuando ustedes intentan de obtener algún beneficio que es requerido por la ley, sin embargo, ellos muy no quieren dar este beneficio a ustedes - todos ellos (y la policía especialmente) intentan de INSPIRAR EL COMPLEJO DE CULPA. Es decir, inspirar que ustedes mismos tienen alguna culpa, como si se comportaran de manera extraña o innoblemente, o anormalmente. Si es policía, ellos inspirarían a usted, como si no fueran inocentes, no fueran detenidos en vano. Si son analfabetos en la jurisprudencia, ellos mentirían sobre unos artículos del Codigo penal que no existen de hecho, y si empiezan a ceder, a ponerse de acuerdo con ellos, incluyendo exteriormente, ello no es suficiente para ellos. Todavía, su propósito no es alcanzado. Él será alcanzado cuando ustedes mismos creerán sinceramente, como si fueran culpables en algo. El primer grado principal para Ekaterínichev no era para que constate algún hecho concreto de uno u otro de la violación pequeña de la ley (aunque también esto tenía lugar incluyendo), sino para que yo mismo me recuerde que podía ser: especuló por alguna mercancía en alguna parte, una vez insulté alguien con palabrotas, podía ser golpeé alguien en la cara o amenacé con cuchillo y huí después, sin embargo, no es lo principal para que cuente a él todo eso, sino para que yo mismo me recuerde y crea que soy un delincuente. En este sentido él actuaba suficiente sensatamente.
       No obstante, resultó como "en torcida argolla no entra bola". Él lanzaba las flechas al lugar que no era débil en absoluto. Voy a explicar para comparar: Un oso es capaz de  sobresaltarme, de ponerme en fuga, de mutilarme y matarme, pero debido a todo esto no sentiré nunca como si me convirtiera peor que un oso. Para mí, no importa que él haría, a pesar de todo él se quedará un oso y a pesar de todo yo me sentiré un ser humano. Si alguien me insulta en la calle, entonces no sentiré nunca como si mi dignidad tuviera pérdida. Relativamente mí, ésta es una muchedumbre de ganadería, contra cuales tiene que saber hacer la guerra de tal manera, para que por último haga peor para ellos, pero no para sí mismo. Incluso si mi esposa fuera infiel a mí, no sentiría en absoluto que me convertí en peor. Eso significaría que algo está en desorden con ella, no conmigo. Por lo visto, eso es una causa de no existencia de mi sentido de celos. Es mi peculiaridad individual, como resultó, es muy ventajosa, y poco probable que haya tal investigador que podría inspirarme el sentido de culpa, especialmente si ninguna culpa no existe. Para mí él no es mejor que un enemigo en la guerra, por ejemplo, como un invasor hitleriano. Pensé en cómo aludir a él, sin dañar a la vez por sí mismo, incluso si me convirtiera en asesino un día, entonces ningún niño o niña no fueran mi primera víctima, sino él mismo. Y tales cosas, cómo el poder, la influencia, la fuerza física o el rango militar - todo eso no ayuda en absoluto a revivir los difuntos.
      -Desafortunadamente, la estructura del mundo es tal que la gente fuerte bate la gente débil. Es investigador, es decir, un representante del poder, es dotado de muchos poderes, eso es vuestra fuerza. En vuestro campo de visión alguien joven cae que es, según vuestra mundividencia, ora un perdido, ora un hippie, ora no es claramente quien, en mi persona. Él no tiene ni el poder, ni la influencia y para remate tiene los problemas personales: quiere proteger la chica amada contra la influencia mala de sus padres. Los padres quieren librarse de él y llaman a la policía. Resultó que los policías en Kuntsevo son los mismos canallas, cómo los padres de ella que son estropeados por prejuicios medievales. Mis cartas que son enfurecidas, pero justas, provocan su odio y rencor. Quieren destruirme. Entonces llaman a la Petrovka 38 y cuentan que hay un cliente apropiado y hay posibilidades inculparle en un delito que es difícil de revelar. Ahora no es esa época. Poco probable que resultó algo. Sin embargo, no tiene cuenta con un detalle: la gente fuerte puede batir los débiles sólo hasta un momento determinado, es decir, hasta el punto de inflexión. Si los débiles son privados de todo, ellos se convierten en más fuertes que la gente fuerte, porque EL MÁS FUERTE ES AQUEL QUE NO TIENE NADA DE LO QUE PODRÍA PERDER.
      -Hmm, tienes la teoría interesante.
      -Sí, sí. El más fuerte es aquel que no tiene nada que podría perder. Él puede todo.
      -¿Qué, precisamente?
      -Todo que es posible físicamente.
       Se ha establecido una pausa, durante cual él luego entornaba los ojos, luego les abría de nuevo, luego cabeceaba. Es posible del todo, adivinó, si fuera condenado por delito que no he cometido, tengo la intención de vengarlo y vengarlo terriblemente. Ciertamente, la gente de su profesión se acostumbraron a las amenazas, incluso a las amenazas directas y francas, y probablemente lo que le ha desconcertado, es la forma conceptuosa, en cual acabé de dar esta amenaza: no hay que tomarla y al mismo tiempo es claro para aquellos que no son estúpidos. Después de ello, en cada entrevista, después de "buenos días" tradicionales él añadía sonriendo:
      -¿Y qué, Boria. ¿La gente fuerte bate los débiles?
      -Es cierto. Y el más fuerte es aquel que no tiene nada que podría perder.
       Este diálogo que era reiterado cada día, empezaba a parecerse chistoso al santo y seña.
       En los interrogatorios siguientes él exigió a mí de escribir con detalles, en cuales días estaba de viaje, en cuales días regresaba a Moscú, en cuales trenes yo salía y venía, quien trabajaba junto a mí y puede certificar que no me ausenté durante mucho tiempo. Una vez el policía que me acompañaba hacia el investigador, me recomendó insistentemente a poner mi gorra de visera, como si a la calle hiciera mucho frío. Salió junto con él en el patio, no hacía ningún frío, hacía calor y sol.
      -Está de pie aquí.
       Y una orden sonó de lejos:
      -Vayan todos aquí. A lo lejos apareció un grupo de la gente que me miraban a mí en cierto modo desagradablemente. La distancia era, si mi memoria no falla a mí, cerca de treinta metros.
      -¿Fue una identificación? - pregunté ya en el despacho de investigador.
       Ekaterínichev no lo negó. Esta vez él tuvo algún aspecto disgustado. Lo más probable esta gente no había reconocido en mí aquel que él buscaba, aunque la identificación no era llevada según las reglas: desde gran distancia, había sido solo, pero según las reglas habían debido poner dos personas más al lado del sospechoso, para disminuir la probabilidad del error.
       El plazo de arresto administrativo por diez días se aproximaba al fin.
      -Fantomás comerá el pan blanco pronto, - bromeó uno de los compañeros de celda. Él no se equivocó.        Solo después de muchos años comprendí, cual peligro me había amenazado esos días. Y gracias a Dios que todo resultó de tal manera. Incluso ahora no debo decir que me asusté solamente, porque no había ningún susto. Inocentemente y niñamente reaccionaba, como si todo que tenía lugar, fuera "guay" y "súper". Sólo una vez soñé: una escena, en la escena un escolar estaba de pie, siendo puesto en la corbata roja, y cantaba con su voz infantil una canción carcelera y popular:
       Y por la línea de ferrocarril de Siberia
       Somos llevados, mamá, lejos del hogar.
       (А по сибирской железной магистрали Нас отправляют, мама, в дальний путь).
       Despertándome, entonces pensé: ¡Qué diablos! Sólo no faltaba más, sino que esto sea. Y basta. No había ninguna emoción más, excepto el despecho debido a la calumnia de ascensorista e infamia de los policías en Kuntsevo, el detrimento de cuales ya había sido compensado por la excursión tan interesante y apasionante, cómo parecía a mí, a la ICM en Petrovka 38 del interior.
       ¡Cuántos era de ellos, de los soñadores inocentes que de la misma manera cómo yo, creían que muy en breve el error va a ser descubierto y ellos van a ser liberados, pero no era destinado para que regresaran vivos! ¡Cuánto de ellos han regresado después de muchos años ya siendo cascados, con la psique dañada, con el alma ennegrecida después de probar las ofensas en la escala increíble y ahora derrocha el rencor sin fuerza! Si no fuera en viajes de trabajo durante todo el invierno ¿entonces que estaría conmigo? ¿Hay unas almas perdidas en la cuenta del investigador Ekaterínichev y cuánto hay de ellas? Entonces en la primavera de 1971 tenía veinte años, todavía no cumplía veinte y un. Él tenía cerca de treinta y cinco en apariencia. Eso significa que ahora él tiene cerca de setenta y cinco. Es interesante ¿ahora él bebe el coñac con limón o, como dicen, largó la maleta? Si está vivo, no tiene otra salida, excepto ir a la iglesia, no importa de cual confesión, ciertamente sería mejor en una de protestante, y arrepentirse sinceramente. Entonces Dios lo perdonará. Y si todavía él tiene fuerzas, entonces describir todos los casos de la condenación aquellos que eran inocentes claramente, que era hecho por su departamento y por él mismo, y hacer esta información conocida para todo el mundo, mostrándola en Internet. Esto sería una hazaña cristiana, pero, desafortunadamente, tal desarrollo de los acontecimientos es poco probable.
       El mundo debe saber la verdad y ya es hora de cesar de creer en los cuentos ingenuos sobre Zheglóv y Sharapov (son personajes de la película "No se puede cambiar el lugar del encuentro" que es propagandístico, mostrando como si los empleados de la ICM fueran honestos). Este estado es malo, bárbaro y satánico que apareció a cambio de la Rusia real que se había perdido bajo las botas de los canallas rojos en 1917. Y se debe recordar más frecuentemente a los gobiernos de países civilizados y democráticos que cualquier negocio con el satán y anticristo no puede en absoluto ser ventajoso, sino tarde o temprano saldrá mal. "Por sus frutos los conoceréis". - es escrito en la Escritura (Mateo 7:16). Es más que suficiente de los frutos malos que eran acumulados en la guerra en Chechenia para comprender que este país no se ha corregido, sino continúa de ser peligroso para todo el mundo, como antes.
       Después de mi liberación desde el arresto administrativo había un episodio escandaloso más que concernía a la misma causa. Cuando yo no estaba en la casa, en el medio de mayo de 1971, ellos llegaron inesperadamente en nuestro apartamento para efectuar un registro, asustando mi madre y abuela y exigieron en el tono que no  admitía ninguna réplica, para que dieran a ellos un gran cuchillo. La abuela sacó todos los cuchillos que estaban en la casa y les puso ante los visitantes que no eran invitados.
      -¡No, necesitamos el gran cuchillo!
       Sin embargo, viendo que la gente de la especie soviética era asustada y por lo tanto era poco probable que escondieran algo, se retiraron. ¿Por qué necesitaban un cuchillo, si la coartada había sido demostrada y la identificación había dado el resultado negativo? No dudo que para la falsificación de las pruebas. Eso no era Ekaterínichev personalmente, la "letra" de conversación no era de él, pero su gente era, y si no era su gente, ¿entonces de quién? Aunque los abortos involuntarios de la justicia tienen lugar en todo el mundo, pero en este país ellos no son involuntarios, sino tienen el origen premeditado, es decir, la intención mala es evidente, por lo tanto, en los países que son infectados por el virus del sovietismo, la cantidad de condenados sin culpa es más arriba en varios ordenes. Después de esta "excursión" a la Petrovka 38, entonces decidí ocultarme por un tiempo en el aspecto de Lena y sus padres. Eso fuera imprudentemente a llevar algún acto en el territorio de la misma comisaría. A dejar ellos en paz no intentaba en absoluto, por ello continuaba hacer los preparativos para los actos siguientes. Después de año efectué unos experimentos que nombré "Hippi-1" y "Hippi-2" en mi diario. Esto eran entrenamientos en caso si tuviera que escaparme. En el proceso de estos experimentos adquirí una práctica provechosa: aprendí a viajar sin dinero por distancias largas, incluso hasta Krasnoyarsk y Tayshét. Alguna vez escribiré sobre ello. Eran unos de los más felices días en mi vida. Y la gran fiesta fue en mi vida, cuando este monstruo totalitario, es decir, la Unión Soviética, se cayó de sí mismo por fin. Aunque el stalinismo y fascismo no han muerto, sino continúan de hacer su asunto sucio, se hizo evidente que ellos no tienen futuro. El futuro es de la civilización europea que reconoce la Declaración de los Derechos Humanos y el proyecto de ley de los derechos del individuo. No sólo Europa occidental, Canadá y EE.UU pertenecen esta civilización, pero incluyendo Japón. El mundo se libera de las cadenas del obscurantismo medieval, y ello llevará gradualmente a la reunión cristianismo, islam y las otras religiones del mundo que ya Daniil Andreev predijo.
       No obstante, regresamos a un tema principal de este ensayo, al problema del amor sin respuesta que no es ningún amor de hecho. Ello es una obsesión desde cual librarse es fácilmente si comprendiera que el objeto de vuestra obsesión no está dotado de estos rasgos que usted mismo ha inventado acerca de él. Aquellos que usted ama, existen, incluso en gran cantidad, porque si esa querida fuera única desde la populación del planeta de siete millardos, entonces tal encuentro sería increíble prácticamente. Sin embargo, tiene que sudar para buscar, pero no debería arrojarse en primera que llega, añadiendo a ella o a él tales rasgos que ella o él no tenía, no tiene y no tendrá nunca. En la comercialización de la red enseñan que hay sólo 6% de la gente, con quien se merece de hacer negocios juntos. Los otros, ora no sirven para nada, ora justamente no son compatibles con usted. Y tal cosa no está en el mundo soviético, pero en los países, donde la gente no vio los tanques soviéticos, no sabe la cola para mortadela, no sabe la moral de cárcel ni la comprobación de documentos sin ningún pretexto y causa.
       Aquí frecuentemente tienen que oír las opiniones: "todos los tipos son cabrones" o "todas las mozas son putas". ¿Quién desde ellos tiene razón? Ya ambos lados tienen razón, porque los pueblos, a quienes los comunistas se han metido con sus guarradas, son muy estropeados, tanto los hombres, cuanto las mujeres, y buscar una amiga o un amigo aquí sería lo mismo que buscar un hombre en prisión o buscar una mujer en burdel, es posible encontrar, pero muy difícil. Sin embargo, supongamos que se esforzaba, buscaba y por fin resultó lo que fue escrito en el Evangelio, es decir, "él que busca, halla..." (Mateo 7:8). Quiero decir que no se equivocó, sino ha encontrado lo que necesitaba. ¿Y qué después? ¿Es que cree que en este mundo soviético una vida normal es posible? Esta gente soviética que es infame y envidiosa, los canallas que se han acostumbrado a destruir lo ajeno, en vez de edificar lo suyo ¿es que cree que ellos dejarán vivir en paz a usted? A eso añada un hecho que la moral de ellos de colectivismo está muy lejos del individualismo occidental, y la comunicabilidad de ellos tiene un carácter impertinente hasta la misma forma obligatoria, si no está dispuesto a aceptar un conflicto para librarse de la comunicación maliciosa. Aquellas personas invadirán en vuestra familia, con quienes los individualistas occidentales no querrían incluso estar de pie a cerca. ¿Cree, es posible vivir en concordia con esta gente, como si escogiera una llave a ella? Es que la sociedad inspiraba a usted desde la infancia que tal cosa no sólo es posible, sino es necesaria. ¡De acuerdo! Es posible vivir en concordia con estas personas y escoger una llave a ellos, sin embargo, pagándolo a muy alto precio, es decir, a costa de la degradación de sí mismo. La policía no está aquí para defender a usted, sino para perseguirte, si te atreve de defender su familia y sí mismo. Si alguien decidiera en EE.UU de dar una bofetada a una vieja para sustraer su pensión, a cambio ella disparará un tiro y no será ninguna acusación por eso, pero en Rusia ella fuera encarcelada sólo por la posesión de armas. No acabo de dejar el tema de ninguna manera. Justamente muchos de ustedes sufren, como si su amiga rechazara a usted que de hecho no es su amiga, sino es ajeno completamente, y si os liáis, usted mismo querrá se separar de ella. Simplemente ve un problema allí, donde no hay nada. Sin embargo, cuando se encuentra la amiga real de usted, si prefiere vivir en este país, entonces surgirá el problema que ya no será imaginario, sino completamente real, y este problema no vendrá de su querida, sino debido a ese estado.
       Sin duda, está impaciente por saber, cómo mi historia se formaba ulteriormente. Cómo se formó el destino de aquella que yo acosaba así, ya escribí: ella permaneció soltera y tiene una hija, cerca de 1984 del nacimiento. Y yo creé lo que quería, a saber, una familia grande y unida, casi cómo en el Cáucaso, pero he edificado esta familia con otra mujer. Es mi esposa, con quien he vivido junto casi 38 años, y tenemos cuatro hijos adultos que tienen desde 20 a 36 años. En Rusia dicen: "pasar la vida no es lo mismo que cruzar un campo". (Жизнь прожить - не поле перейти). Lo que crucé, no es un campo. Crucé un pantano peligroso y alagadizo, donde es posible hundirse a cada paso, sin embargo, no me hundí, incluso no me ensucié mucho, gracias al Señor Dios que me ayudaba siempre y a mi propia erudición. No obstante, esto no es un país, donde es posible vivir normalmente, educar a los niños, edificar algo útil, perfeccionarse y alegrarse de la vida. Logré sobrevivir e incluso bien suficiente. Sin embargo, con toda honestidad, no puedo dar ninguna garantía que cruzará este pantano hasta el fin, sin hundirse, y que tendrá suerte de la misma manera, cómo yo lo tuve. Este mundo es maldito y va a perderse. Él tiene una karma terrible. El anticristo gobierna aquí y las predicciones de San Juan Evangelista se presentan más claro con cada día. Lo que es más evidente aquí, ello es la falta de respecto a la persona que tiene lugar a cada paso. Este país es una cárcel y sus ciudadanos son presos. Los problemas sociales no son solucionados, sino son inmóviles durante siglos. Y nadie nunca logró cambiar algo aquí. La reconstrucción de Gorbachev era provocada por desorganización de la economía ineficaz y débil, por carrera de armamentos que ya era desigual, porque el modo de vida de estado que no es correcto ni justo, sin duda tarde o temprano afectará economía negativamente, y esta ley es una debilidad principal de las fuerzas malas.
       Si se va al Oeste, sería mejor mantendrá apartado de cualquier diáspora desde CEI, de otra manera usted puede ser arrastrado en cualquier crimen, en cualquier malo, y lo que es el peor, convertirse en dependido del gentío de canallas. Incluso, yo desconfiaría de los extranjeros que vienen aquí a hacer negocios. Todavía, podría comprender los románticos, los amantes del riesgo y aventuras. Sin embargo, los románticos nobles del riesgo serían aprensivos a hacer algo juntos con tal abominación. No. Sería mejor a reunirse, a fundirse con la civilización avanzada de Europa, quemando todos los puentes atrás, para que no regrese a este mundo que va a perece. Y el estudio minucioso de las lenguas servía sólo a favor de usted, para propio desarrollo. Es que fue escrito en la Biblia: "Salid de ella, pueblo mío, porque no seáis participantes de sus pecados, y que no recibáis de sus plagas..." (Rev. 18:4).
       Sí, es cierto, disponiendo de mucha información que era acumulada hasta al sexagésimo aniversario, yo no haría lo que hacía, teniendo veinte años. Además de esto, debe distinguir las maravillas desde las patrañas. Una patraña es lo que no tiene lugar ni puede tenerlo, y una maravilla es lo que sucede pero extremadamente raramente. Una tentativa de influir en alguien para que ella cambie, es una esperanza por maravilla. Tales casos, cómo el cambio de mentalidad del Apóstol Pablo, estaba siendo un perseguidor del cristianismo, él se convirtió en el más fiel adepto, tienen lugar muy raramente. Aquí por lo tanto el gran Profesor y Profeta Mohammed dijo: "debes sólo traspasar...", es decir, se trataba del traspaso de información y después no debería inquietarse, cómo este hombre reaccionará, quien ha recibido esta información. Persuadirle durante mucho tiempo, todavía más perseguirle durante varios años, lamentando que él (o ella) no acepta la verdad ni estropea su vida y en general daña sí mismo debido a eso, es un error. Sin embargo, no creo sobre todo esto que tuvo lugar, como si fuera en vano. Un gran poeta dijo: "No podemos adivinar, cómo nuestras palabras influirían". (Нам не дано предугадать, как наше слово отзовется). Decenas de personas fueron testigos de esta historia: la misma ascensorista, los mismos policías, el mismo investigador y sus parientes a quienes ellos contaban esta historia, viniendo a la casa del trabajo. La influencia en todos ellos con mis sentencias, también con mi ejemplo personal, no pudo ser igual a cero. Y si alguien uno desde esta fila larga, aunque no inmediatamente, aunque después de veinte años, aunque incluso después de cuarenta años reflexionara en todo esto, entonces es difícil exagerar la utilidad de lo que ocurrió.
       Soy uno de unos cuantos que vieron este edificio del interior y precisamente sería un pecado no describirlo. "Todo está bien lo que bien termina"- así reza un proverbio conocido, y en total, la tentativa de las fuerzas malas de aniquilarme se convirtió en una excursión interesante de hecho.

                                       31 de octubre 2010.